Reconstitution de l’œuvreA partir du 6 février 2024Musées du Capitole Titre original : « Statua colossale di Costantino » L’article Statue colossale de Constantin 🗓 🗺 est apparu en premier sur Petit journal romain. [...]
L’art contemporain raconte les émotionsDu 29 novembre 2023 au 29 septembre 2024Cloître de Bramante Titre original : "Emotion. L’arte contemporanea racconta le Emozioni" L’article Emotion 🗓 🗺 est apparu en premier sur Petit journal romain. [...]
Visions du JaponDu 20 février au 23 juin 2024Musée de Rome, Palazzo Braschi L’article UKIYOE. Le Monde Flottant 🗓 🗺 est apparu en premier sur Petit journal romain. [...]
Le grand architecte athénien du Ve av. J.-C.Du 24 novembre 2023 au 5 mai 2024Musées du Capitole Titre original : « Fidia » L’article Phidias 🗓 🗺 est apparu en premier sur Petit journal romain. [...]
Du 22 décembre 2023 au 30 avril 2024Au Colisée Titre original : « La Colonna Traiana. Il racconto di un simbolo » L’article La Colonne Trajane. Le récit d’un symbole 🗓 🗺 est apparu en premier sur Petit journal romain. [...]
Un grand port de la méditerranéeDu 10 novembre 2023 au 7 avril 2024ETRU - Musée National Étrusque de la Villa Giulia Titre original : « Spina etrusca a Villa Giulia. Un grande porto nel Mediterraneo » L’article Spina étrusque à la Villa Giulia 🗓 🗺 est apparu en premier sur Petit journal romain. [...]
Voyage retour. Photographies en Italie 1972- 1980Du 6 décembre 2023 au 24 mars 2024Musée de Rome en Trastevere Titre original : « Lou Dematteis - Un viaggio di ritorno/A Journey Back. Fotografie in Italia 1972- 1980 » L’article Lou Dematteis 🗓 🗺 est apparu en premier sur Petit journal romain. [...]
SAID est une chocolaterie artisanale depuis 1923, située dans une petite impasse du quartier étudiant de San Lorenzo, on peut s’y installer confortablement dans un cadre accueillant, pour par exemple y déguster un bon chocolat chaud (ciocolata calda).
SAID Via Tiburtina, 135 – Roma Ouvert de 10h à minuit. Fermé le lundi http://said.it
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Giolitti est un glacier et pâtissier romain historique, fondé en 1890. Ces crèmes glacées sont réputées, proposant au delà des parfums classiques, des originaux comme champagne, ricotta, marsala, riz, etc.
Giolitti Via degli Uffici del Vicario, 40 – Roma Ouvert de 7h30 à minuit www.giolitti.it
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Situé place Campo de’ Fiori, cet antique Forno (boulangerie), outre pain et pâtisserie, propose de fameuses pizzas à la coupe et la focaccia, dont la pizza bianca (pizza blanche), pizza rossa (pizza à la sauce tomate) et margherita.
Pandalì est une bonne boulangerie-pâtisserie sans gluten à proximité du Panthéon, avec ses bons pains maison, gâteaux, et aussi des salades, sandwichs, et quelques plats cuisinés pour le déjeuner. On peut aussi bien sur y déguster le café.
Pandalì Via di Torre Argentina, 3, 00186 Roma Ouvert de 9h à 15h, fermé le dimanche https://pandali.it
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Située à moins de 30 km de Rome, Tivoli est une intéressante ville facilement joignable en train. C’est une bonne idée d’escapade pour une journée hors de la ville éternelle. Dès l’antiquité, l’aristocratie romaine y bâtit des villas à la suite de l’empereur Hadrien. La ville en elle-même, avec ses monuments, ses restaurants et son animation locale, est digne d’intérêt. D’ailleurs les romains viennent parfois y passer le week-end. Mais c’est surtout pour ses « villas » classées par l’Unesco qu’elle est prisée par les touristes. Il reste ainsi des vestiges conséquents de l’extraordinaire Villa d’Hadrien, l’immense domaine et palais impérial. D’un autre style et d’une autre époque, la Villa d’Este a de splendides jardins du XVIe siècle agrémentés de majestueuses fontaines. Quant à elle, la Villa Gregoriana est grand parc boisé avec une grande cascade, des grottes et des vestiges.
Canopus de la Villa d’Hadrien
Ville de Tivoli
On découvre dans le centre historique de Tivoli ville de beaux monuments comme la jolie église de Santa Maria Maggiore, la cathédrale San Lorenzo. On découvre aussi des vestiges antiques dispersés comme les temples de Vesta et de Sibylle, le mausolée des Plauti, le sanctuaire d’Hercule Victor, ou l’antique Mensa Ponderaria sur le forum romain. On peut aussi s’y ressourcer dans les thermes modernes.
Villa d’Hadrien
Pour son ampleur et sa bonne conservation, la Villa d’Hadrien est une des plus importantes villas romaines d’Italie. C’est un exemple remarquable de l’architecture romaine, qui compta notamment plusieurs innovations. Bâtie à partir de l’an 126 de notre ère, elle fut imaginée par l’empereur Hadrien qui s’inspira de ses récents voyages dans les provinces orientales, à Athènes et à Alexandrie en particulier. Les empereurs successifs l’embellirent, jusqu’à Constantin qui transféra ses œuvres d’art à Constantinople au début du IVe siècle de notre ère. Détruite lors des invasions barbares, elle servit par la suite de carrière de pierres pour la construction des édifices de Tivoli. Parmi les nombreux endroits à découvrir dans la villa, mentionnons le Pecile avec son jardin central et un bassin ; la salle des Philosophes avec ses niches ; le théâtre maritime, avec l’îlot au centre d’un bassin circulaire entouré d’une colonnade ; les deux ensembles thermaux ; la vallée artificielle du Canopus inspirée de celle d’Alexandrie avec son bassin allongé, ses colonnes, statues, et le temple-fontaine ; le complexe du palais impérial avec la Piazza d’Oro ; etc.
Villa d’Este
Fontaine de la Villa d’Este
La Villa d’Este fut construite au XVIe siècle à l’initiative du cardinal Hippolyte d’Este, employant pour cela en partie des marbres issus de la proche Villa d’Hadrien. C’est un chef d’œuvre de l’architecture italienne et du style maniériste, avec de magnifiques jardins en terrasses pourvus de nombreuses fontaines monumentales. Ces dernières sont alimentées avec les techniques employées par les romains antiques.
Villa Gregoriana
La Villa Gregoriana est un parc qui s’étend au pied de l’ancienne acropole de Tivoli, dominé par les vestiges de deux temples, dont le temple de Vesta (ou de la Sibylle) Il est occupé par un bois que l’on parcourt par des chemins et qui mènent aux grottes de Neptune et des Sirènes, aux petites gorges et à des vues sur les cascades, dont la Grande Cascade de la rivière Aniene.
Galerie
Villa d’Hadrien : le Canapo
Villa d’Hadrien : mur d’enceinte
Villa d’Hadrien : le Pécile
Quadriportique avec un bassin de poissons
Fontaine de la villa d’Este
Jardins de la Villa d’Este
Jardins de la Villa d’Este
Villa d’Este
Temple de Vesta, Tivoli
Villa Gregoriana
Plan de Tivoli
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Située à moins de 30 km de Rome, Tivoli est une intéressante ville facilement joignable en train. C’est une bonne idée d’escapade pour une journée hors de la ville éternelle. Dès l’antiquité, l’aristocratie romaine y bâtit des villas à la suite de l’empereur Hadrien. La ville en elle-même, avec ses monuments, ses restaurants et son animation locale, est digne d’intérêt. D’ailleurs les romains viennent parfois y passer le week-end. Mais c’est surtout pour ses « villas » classées par l’Unesco qu’elle est prisée par les touristes. Il reste ainsi des vestiges conséquents de l’extraordinaire Villa d’Hadrien, l’immense domaine et palais impérial. D’un autre style et d’une autre époque, la Villa d’Este a de splendides jardins du XVIe siècle agrémentés de majestueuses fontaines. Quant à elle, la Villa Gregoriana est grand parc boisé avec une grande cascade, des grottes et des vestiges.
Canopus de la Villa d’Hadrien
Ville de Tivoli
On découvre dans le centre historique de Tivoli ville de beaux monuments comme la jolie église de Santa Maria Maggiore, la cathédrale San Lorenzo. On découvre aussi des vestiges antiques dispersés comme les temples de Vesta et de Sibylle, le mausolée des Plauti, le sanctuaire d’Hercule Victor, ou l’antique Mensa Ponderaria sur le forum romain. On peut aussi s’y ressourcer dans les thermes modernes.
Villa d’Hadrien
Pour son ampleur et sa bonne conservation, la Villa d’Hadrien est une des plus importantes villas romaines d’Italie. C’est un exemple remarquable de l’architecture romaine, qui compta notamment plusieurs innovations. Bâtie à partir de l’an 126 de notre ère, elle fut imaginée par l’empereur Hadrien qui s’inspira de ses récents voyages dans les provinces orientales, à Athènes et à Alexandrie en particulier. Les empereurs successifs l’embellirent, jusqu’à Constantin qui transféra ses œuvres d’art à Constantinople au début du IVe siècle de notre ère. Détruite lors des invasions barbares, elle servit par la suite de carrière de pierres pour la construction des édifices de Tivoli. Parmi les nombreux endroits à découvrir dans la villa, mentionnons le Pecile avec son jardin central et un bassin ; la salle des Philosophes avec ses niches ; le théâtre maritime, avec l’îlot au centre d’un bassin circulaire entouré d’une colonnade ; les deux ensembles thermaux ; la vallée artificielle du Canopus inspirée de celle d’Alexandrie avec son bassin allongé, ses colonnes, statues, et le temple-fontaine ; le complexe du palais impérial avec la Piazza d’Oro ; etc.
Villa d’Este
Fontaine de la Villa d’Este
La Villa d’Este fut construite au XVIe siècle à l’initiative du cardinal Hippolyte d’Este, employant pour cela en partie des marbres issus de la proche Villa d’Hadrien. C’est un chef d’œuvre de l’architecture italienne et du style maniériste, avec de magnifiques jardins en terrasses pourvus de nombreuses fontaines monumentales. Ces dernières sont alimentées avec les techniques employées par les romains antiques.
Villa Gregoriana
La Villa Gregoriana est un parc qui s’étend au pied de l’ancienne acropole de Tivoli, dominé par les vestiges de deux temples, dont le temple de Vesta (ou de la Sibylle) Il est occupé par un bois que l’on parcourt par des chemins et qui mènent aux grottes de Neptune et des Sirènes, aux petites gorges et à des vues sur les cascades, dont la Grande Cascade de la rivière Aniene.
Galerie
Villa d’Hadrien : le Canapo
Villa d’Hadrien : mur d’enceinte
Villa d’Hadrien : le Pécile
Quadriportique avec un bassin de poissons
Fontaine de la villa d’Este
Jardins de la Villa d’Este
Jardins de la Villa d’Este
Villa d’Este
Temple de Vesta, Tivoli
Villa Gregoriana
Plan de Tivoli
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Le Panificio Bonci est une très bonne boulangerie du quartier Prati, proposant au delà de ses variétés de pains traditionnels, autant de bons produits sucrés (pâtisseries, cheesecake, etc) que salés, avec focaccias et pizzas à la coupe très appréciées, légères et bien garnies, et aussi des tartines, arancinis, etc.
Panificio Bonci Via Trionfale, 36, 00195 Roma Fermé le dimanche www.bonci.it
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On retrouve la Cannoleria Siciliana à trois adresses de Rome un peu à l’extérieur du centre historique, dans les quartiers de Prati, de la Place de Re di Roma et sur le Corso Trieste. C’est un spécialiste de la pâtisserie sicilienne, des cannoli en particulier, ces biscuits avec une pâte à la ricotta dans son biscuit cylindrique. Ils vendent aussi des produits artisanaux de Sicile, dont pâtes et pestos, et des mets salés comme les arancinis – les boulettes de riz panées, avec viande et autre.
Cannoleria Siciliana Piazzale degli Eroi, 24, 00192 Roma – Piazza dei Re di Roma, 10, 00183 Roma – Corso Trieste, 100, 00198 Roma www.lacannoleriasiciliana.it
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Le Altre Farine Del Mulino (les autre farines du moulin en français) est une boulangerie-pâtisserie sans gluten très appréciée tout près du Vatican, dont beignets, croissants, biscuits, tartelettes gâteaux, etc.
Le Levain est une très bonne boulangerie et pâtisserie artisanale du Trastevere, avec ses viennoiseries françaises dont de bons croissants, pains au chocolat, pains aux raisins. Certes, les pris sont un élevés, comme 1,70 € le croissant ; 2,20 € le pain au chocolat (en 2023). Propose aussi des soupes et des sandwichs pour le déjeuner.
Julietta Pastry and Lab est une pâtisserie et boutique végétarienne à Ostiense près du quartier Garbatella à côté d’un bar à chats. Certains produits sont sans gluten, avec des gâteaux et desserts de qualité, comme de bonnes tartelettes, tartes et autres, où l’on peut aussi déguster le café, acheter fromages, sauces et plats à emporter.
Mariani est un petit mais chouette bar tout près du pont Sisto, typique de Rome, apprécié pour son café autant que pour ses pâtisseries comme par exemple les cannolis aux noix d’origine sicilienne.
Antico Bar Pasticceria Mariani Via dei Pettinari, 44, 00186 Roma Ouvert de 6h à 21h, fermé le dimanche
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Cipriani est une biscuiterie historique du quartier de l’Esquilin à Rome, fondée en 1906, actuellement tenue par la quatrième génération. Élabore de savoureux biscuits secs, cookies, etc.
Pasticceria Cipriani Via Carlo Botta, 21/23, 00184 Roma Fermé le dimanche et le lundi www.pasticceriacipriani.com
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Avant les romains, l’Italie centrale fut en grande partie le territoire des étrusques. Cette civilisation, longtemps éclipsée par leurs prestigieux successeurs et conquérants, fut pourtant d’une grande richesse et influence. En témoignent les nombreux et vastes sites archéologiques, et le mobilier qui y fut découvert, dont les luxueuses parures, dans les nécropoles en particulier. On les retrouve dans plusieurs régions italiennes, avec l’ « épicentre » dans la Tuscia, au nord du Latium.
Cerveteri
Nécropole de Banditaccia à Cerveteri
Dans la province de Rome, se trouve un des sites étrusque les plus suggestifs à Cerveteri. Ici les très vastes nécropoles, remontent depuis le IXe siècle avant notre ère avec la culture villanovienne antérieure, jusqu’au IIIe siècle avant J.-C. des étrusques. Le principal site est la nécropole de Banditaccia. Elle compte des milliers de sépultures qui forment un plan quasi urbain, avec quartiers, rues et places. Elle s’étend sur 400 hectares ! la zone réservée à la visite est de « seulement » 10 hectares et totalise près de 400 tumulus. Certaines tombes sont monumentales, creusées dans la roche, puis surmontées d’impressionnants tumulus circulaires. D’autres sont en forme de maison, certaines comportent des bas-reliefs ou renferment des peintures murales.
Dans la province de Viterbe, un peu plus au nord, se trouvent aussi d’autres sites remarquables de la civilisation étrusque :
Tarquinia
C’est avec Cerveteri, le plus étonnant des sites étrusques du Latium. Contrairement au précédent, ce n’est pas pour l’aspect extérieur monumental. Ici l’intérêt se trouve à l’intérieur des tombes. Les escaliers descendent dans les chambres funéraires pour offrir au visiteur un spectacle pictural, les parois sont couvertes de fresques, parfois très bien conservées, qui racontent la vie des défunts, des phénomènes mythiques liés à la vie ou à la mort. Le musée étrusque de Tarquinia est aussi le plus importants de la région avec celui de la Villa Giulia à Rome.
Autres sites étrusques de la province de Viterbe
Voici quelques sites archéologiques marqués par la culture étrusque, dont les plus vastes nécropoles. Vous pouvez consultez aussi la rubrique dédiée aux étrusques sur Rome-Roma.
Vulci
L’importante cité-état étrusque de Vulci, fut – une fois n’est pas coutume – colonisée par les romains au IVe siècle avant notre ère. Le vaste site archéologique occupe un plateau de près de 120 hectares traversé par une rivière, où se mêle nature et archéologie, entre les vestiges de la ville, un petit lac et des animaux.
Norchia
Castel d’Asso
Autour d’une acropole, Norchia est un site sauvage et grandiose, presque abandonné, où les vestiges épars datent de nombreuses époques : préhistorique, étrusque, romain et médiéval. L’intérêt principal est celui de la nécropole, avec des tombes monumentales au flan de plusieurs parois rocheuses.
San Giuliano
Le site de San Giuliano, autour d’une vallée parcourue par une rivière, est un des plus impressionnants de la région. Il est vaste et bien signalé, avec des chemins aménagés, qui parcourent le site pour découvrir au milieu des bois de merveilleuses tombes étrusques.
Castel d’Asso
La nécropole de Castel d’Asso est une autre belle zone archéologique étrusque proche d’un éperon rocheux occupé par les romains, et à l’époque médiévale.
Blera
Près du petit village de Blera, des nécropoles étrusques furent creusées dans les parois rocheuses de la vallée.
San Giovenale
Il reste à San Giovenale, les restes d’une ancienne église médiévale, des vestiges substantiels des implantations de culture villanovienne, de l’âge de bronze, avec les restes de cabanes circulaires, jusqu’à l’âge de fer avec les premiers étrusques et leur maisons.
Galerie
Cerveteri
Cerveteri
Tumulus, nécropole de Cerveteri
Nécropole de Cerveteri
Nécropole de Cerveteri
Tombes, Nécropole de Cerveteri
Tumulus – Nécropole de Cerveteri
Nécropole de Cerveteri
Tarquinia
Norchia
Castel d’Asso
Blera
San Giuliano
San Giovenale
Vulci
Plan de la région avec les sites étrusques
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Avant les romains, l’Italie centrale fut en grande partie le territoire des étrusques. Cette civilisation, longtemps éclipsée par leurs prestigieux successeurs et conquérants, fut pourtant d’une grande richesse et influence. En témoignent les nombreux et vastes sites archéologiques, et le mobilier qui y fut découvert, dont les luxueuses parures, dans les nécropoles en particulier. On les retrouve dans plusieurs régions italiennes, avec l’ « épicentre » dans la Tuscia, au nord du Latium.
Cerveteri
Nécropole de Banditaccia à Cerveteri
Dans la province de Rome, se trouve un des sites étrusque les plus suggestifs à Cerveteri. Ici les très vastes nécropoles, remontent depuis le IXe siècle avant notre ère avec la culture villanovienne antérieure, jusqu’au IIIe siècle avant J.-C. des étrusques. Le principal site est la nécropole de Banditaccia. Elle compte des milliers de sépultures qui forment un plan quasi urbain, avec quartiers, rues et places. Elle s’étend sur 400 hectares ! la zone réservée à la visite est de « seulement » 10 hectares et totalise près de 400 tumulus. Certaines tombes sont monumentales, creusées dans la roche, puis surmontées d’impressionnants tumulus circulaires. D’autres sont en forme de maison, certaines comportent des bas-reliefs ou renferment des peintures murales.
Dans la province de Viterbe, un peu plus au nord, se trouvent aussi d’autres sites remarquables de la civilisation étrusque :
Tarquinia
C’est avec Cerveteri, le plus étonnant des sites étrusques du Latium. Contrairement au précédent, ce n’est pas pour l’aspect extérieur monumental. Ici l’intérêt se trouve à l’intérieur des tombes. Les escaliers descendent dans les chambres funéraires pour offrir au visiteur un spectacle pictural, les parois sont couvertes de fresques, parfois très bien conservées, qui racontent la vie des défunts, des phénomènes mythiques liés à la vie ou à la mort. Le musée étrusque de Tarquinia est aussi le plus importants de la région avec celui de la Villa Giulia à Rome.
Autres sites étrusques de la province de Viterbe
Voici quelques sites archéologiques marqués par la culture étrusque, dont les plus vastes nécropoles. Vous pouvez consultez aussi la rubrique dédiée aux étrusques sur Rome-Roma.
Vulci
L’importante cité-état étrusque de Vulci, fut – une fois n’est pas coutume – colonisée par les romains au IVe siècle avant notre ère. Le vaste site archéologique occupe un plateau de près de 120 hectares traversé par une rivière, où se mêle nature et archéologie, entre les vestiges de la ville, un petit lac et des animaux.
Norchia
Castel d’Asso
Autour d’une acropole, Norchia est un site sauvage et grandiose, presque abandonné, où les vestiges épars datent de nombreuses époques : préhistorique, étrusque, romain et médiéval. L’intérêt principal est celui de la nécropole, avec des tombes monumentales au flan de plusieurs parois rocheuses.
San Giuliano
Le site de San Giuliano, autour d’une vallée parcourue par une rivière, est un des plus impressionnants de la région. Il est vaste et bien signalé, avec des chemins aménagés, qui parcourent le site pour découvrir au milieu des bois de merveilleuses tombes étrusques.
Castel d’Asso
La nécropole de Castel d’Asso est une autre belle zone archéologique étrusque proche d’un éperon rocheux occupé par les romains, et à l’époque médiévale.
Blera
Près du petit village de Blera, des nécropoles étrusques furent creusées dans les parois rocheuses de la vallée.
San Giovenale
Il reste à San Giovenale, les restes d’une ancienne église médiévale, des vestiges substantiels des implantations de culture villanovienne, de l’âge de bronze, avec les restes de cabanes circulaires, jusqu’à l’âge de fer avec les premiers étrusques et leur maisons.
Galerie
Cerveteri
Cerveteri
Tumulus, nécropole de Cerveteri
Nécropole de Cerveteri
Nécropole de Cerveteri
Tombes, Nécropole de Cerveteri
Tumulus – Nécropole de Cerveteri
Nécropole de Cerveteri
Tarquinia
Norchia
Castel d’Asso
Blera
San Giuliano
San Giovenale
Vulci
Plan de la région avec les sites étrusques
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Senza Pensieri est une pâtisserie du quartier San Lorenzo avec des gâteaux sans gluten, sans lactose et pour certains végétariens. Propose aussi de la pizza à la coupe et quelques fritures. Accueil sympa.
La plupart des grands musées romains sont plurithématiques, avec des collections de diverse époques, de l’antiquité à la Renaissance et au baroque par exemple. Ceux-ci ont des collections d’œuvres antiques et d’artefacts archéologique, ce sont les Musées du Capitole, puis les Musées du Vatican, et la Galerie Borghese dans une moindre mesure. Un certain nombre d’autres musées sont principalement consacrés à l’antiquité et à l’archéologie, avec avant tout le Musée National Romain qui compte plusieurs sites à Rome, qui rassemble la plus vaste collection d’Europe de ce genre.
Principaux musées d’antiquités à Rome
Musées du Capitole L’archéologie et l’antiquité occupent l’essentiel des Musées du Capitole, occupant les palais sur la colline du Capitole et dont les souterrains mènent au Tabularium antique qui domine le forum, et à des vestiges du temple de Jupiter Capitolin. On découvre par exemple des bustes de philosophes et d’empereurs romains, des statues célèbres comme la statue du Galate mourant, la Vénus du Capitole, le Marforio, des bronzes dont la Louve du Capitole, le Tireur d’Épine, le Brutus Capitolin, la statue équestre de Marc Aurèle.
Musées du Vatican Le Musée Pio-Cristiano conserve des statues, sarcophages, mosaïques et artefacts datant du IIe au VIe siècle de notre ère, en particulier de l’époque paléochrétienne et issus des catacombes romaines. Le Musée Grégorien Profane rassemble des œuvres grecques et romaines allant du Ier au IIIe siècle après J.-C., à l’origine pour conserver le surplus du musée après des fouilles à Rome, Ostie, Veio et Cerveteri. Le Musée Pio-Clementino a été développé pour accueillir les chefs-d’œuvre grecs et romains, dont les plus belles statues. Le Musée Chiaramonti compte près d’un millier de sculptures, surtout des bustes et des statues romaines
Galerie Borghese L’archéologie n’est pas le cœur du musée, mais les nombreuses œuvres antiques conservées sont parmi les plus belles, comme les sculptures classiques et hellénistiques dont un Hermaphrodite, un satyre colossal ou une célèbre mosaïque de gladiateurs, des statues romaines avec une statue colossale de Dionysos ou un portrait d’Alexandre, et de l’art étrusque.
Musée National Romain Réparti sur quatre sites, ce musée héberge la plus vaste collection archéologique au monde. Elle est consacrée au monde romain. Le Palais Massimo alle Terme conserve les fresques de villas romaines, comme celles de la Maison de Livie, ou de sublimes sculptures et statues, tel qu’un Discobole ou un Hermaphrodite, des sarcophages et mosaïques, et une vaste collection numismatique. Les Thermes de Dioclétien, dans ses structures antiques et ultérieures, conservent tombes, sarcophages, stèles, une section épigraphique et une section préhistoire et peuples italiques. Le Palais Altemps abrite d’importantes sculptures antiques. La petite Crypte Balbi met surtout en évidence des strates archéologiques de Rome sur le site même.
Autres musées d’antiquités
Les Marchés de Trajan comptent un musée consacré aux forums impériaux dans une partie des structures antiques de ce forum.
Le Musée National Étrusque de la Villa Giulia est un très vaste musée consacré à la civilisation étrusque
Le Musée de la Civilisation Romaine (actuellement fermé) est consacré au monde romain et compte beaucoup de reconstitutions de bâtiments, de Rome, de batailles.
La Centrale Montemartini est un étonnant musée d’antiquités romaines hébergé dans une ancienne centrale électrique.
Le Musée des Murs de Rome, dans la Porte Saint-Sébastien et une partie des murs d’Hadrien, est un petit musée dédié à ces murs.
Le Musée du haut moyen-age se trouve désormais au Mibac à l’EUR.
Le Musée de Sculpture antique Giovanni Barracco conserve quant à lui d’intéressantes œuvres.
On peut facilement rejoindre la mer depuis Rome, à l’aide par exemple du train régional, en 30-45 minutes environ. Si vous avez une voiture, les plus belles côtes sont vers le sud entre Sperlonga et Gaète, ce qui est un peu loin. La plus proche de Rome se trouve au Lido di Ostia, avec ses étendues de sable loin d’être les plus attrayantes, mais qui ont leur intérêt. Entre les deux se trouvent toutefois de belles plages, comme les Grottes de Néron à Anzio ; la plage sauvage de Torre Astura où un ancien fort est ceinturé par les eaux ; les grandes étendues de sable et leurs dunes de la Bufalara à Sabaudia ; jusqu’au parc naturel de Circeo avec au pied du beau promontoire de Circée les criques rocheuses de Batteria Punta Rossa.
Vers le nord se trouvent aussi de belles étendues de sable, tel qu’à Santa Severa près de Santa Marinella, au pied d’un beau château, ou la plage sauvage à Torre Flavia près de Cerveteri.
Que se soit vers le nord ou vers le sud, il y a de grandes langues de sable, les moins bétonnées étant vers le sud où se trouvent aussi les plus beaux villages et sites remarquables.
Plage de la Bufalara (Sabaudia)
Lido di Ostia
Bien qu’elles ne soient pas les plus belles, et parfois bombées et pas très propres en été, les plages du Lido di Ostia ont quand même leur charme et sont facilement accessibles depuis Rome, se trouvant en plus près du site antique d’Ostie. En outre les équipements de la ville sont nombreux sur ce littoral qui offre beaucoup de bars, restaurants, etc. Un bus mènent vers le sud aux cancellioù les plages sont davantage agréables (des espaces libres se trouvent entre les zones payantes).
Comment s’y rendre ?
Prendre le train ROMA LIDO, en direction de « Lido di Ostia » par exemple depuis la gare PIRAMIDE OSTIENSE (sur le métro B) Ensuite pour l’arrêt, deux possibilités :
Pour la plage la plus proche : descendre à la station « Stella Polare », puis marcher (environ 10 minutes) vers le sud. Plusieurs plages sont libres d’accès, d’autres sont payantes.
Pour des plages plus sympas : descendre à la Station C. Colombo (terminus), prendre le bus 07 : « Torvajanica, linea 07 Mare ». Ce bus s’arrête aux divers « cancelli » (de 1 à 7) accès aux plages, qui se succèdent tous les 500 mètres environ. Beaucoup d’espaces de plages sont payant pour se poser, mais des portions sont libres d’installations. Capocotto, une des préférées des romains, est aussi nudiste.
AU SUD D’OSTIE
Plages d’Ostie à Anzio et Nettuno
La route longe de longues étendues de sable et de dunes, dont celle de Capocotta près d’Ostie.
Les Grottes de Néron *, à Anzio, au pied du Cap d’Anzio et de la villa romaine impériale, est une jolie plage avec les anciennes grottes et des ruines. A Anzio débarquèrent les américains.
Non loin, Nettuno conserve un ancien centre.
Accès en train : vous pouvez arriver en une heure environ avec un train régional direct de Rome Termini à la gare d’Anzio ou de Nettuno.
Torre Astura
Après Anzio et Nettuno, en bordure de la zone militaire, à Torre Asutra * se trouve une belle pinède et plage sauvage, souvent peu fréquentée, à laquelle on accède par 15 minutes de marche environ depuis le parking. Il y a ici une ancienne forteresse baignée par les eaux.
Plaine pontine et parc de Circée
De très grandes et longues plages longent la route entre les marais de la plaine pontine et la mer, incluses dans la réserve naturelle de Circée. La plage de la Bufalara à Sabaudia * est une longue langue de sable dans un beau cadre préservé avec ses dunes. Jusqu’à Torre Paola, il y a de belles et longues étendues de sable.
A Batteria Punta Rossa*, près de San Felice Circeo, au pied des falaises du promontoire, les criques rocheuses ont des eaux transparentes, vertes et émeraudes. Parmi les plus belles de la région.
De San Felice Circeo jusqu’à Terracina
Plages de San Felice Circeo puis, puis celles jusqu’à Terracina. Cette dernière est surtout une ville avec un remarquable patrimoine antique dont les vestiges du temple sur la colline.
Plages de Sperlonga
Sperlonga est une des destinations préférées des romains. Se trouvent plusieurs plages sympas, le joli bourg et la villa de Tibère.
Accès en train : 1H30 en train depuis Roma Termini jusqu’à la gare Fondi-Sperlonga, puis le bus mène au bourg ou aussi à la plage en saison.
Plages entre Sperlonga et Gaète
Très belle portion côtière entre Sperlonga et Gaète, avec des plages au pied de falaises de Sperlonga à Gaète, dont la plage Sant’Agostino, ou la très belle plage des 300 marches * (300 gradini, ou dite aussi dell’arenauta). Cette dernière porte bien son nom, on y accède par 300 marches d’escalier. Elle est payante.
Gaète et Formia
La plage de Serapo est la jolie plage de Gaète.
AU NORD D’OSTIE
Fregene
Fregene est connue pour son chic, avec ses villas fréquentées par le monde du cinéma et de la culture, et aussi pour le « Village des Pêcheurs » créé par des artistes après la Seconde Guerre mondiale, la pinède historique et les oasis WWF de Macchiagrande et Maccarese.
Accès en train : 30 minutes de train permettent de s’y rendre, de Roma Termini à la gare de Maccarese-Fregene. Puis les bus Cotral mènent à Fregene Lungomare.
Torre Flavia
Torre Flavia *, entre Ladispoli et Cerveteri, avec ses eaux transparentes et son sable doré autour d’une tour médiévale, près des marais d’une zone humide protégée.
Santa Marinella et Santa Severa
Joignable en train, il se trouve de belles plages à Santa Marinella et aux environs. Le littoral alterne zones de sable puis de rochers. Les plages sont réputées pour leurs vagues et beaucoup bien équipés, bars, etc.
La plage de Santa Severa *, près de Santa Marinella, est une jolie étendue de sable fin et de belles eaux baignant les pieds de l’ancien château et d’un port antique étrusque de Pyrgi sous les eaux.
Accès en train : Il faut une heure de train de Roma Termini à la gare de Santa Marinella ou à celle de Santa Severa (moins en partant de Roma Ostiense). Quelquues minutes de marche mènent à la plage la plus proche.
Galerie
Torre Astura
Fogliano – La Bufalara (Sabaudia)
La Bufalara (Sabaudia)
Plage de San Felice Circeo
Vue sur la plage de Terracina
Sperlonga
Trecento gradini (Gaète)
Serapo (Gaète)
San Severa (Santa Marinella)
Plan de la région avec les plages et sites
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On peut facilement rejoindre la mer depuis Rome, à l’aide par exemple du train régional, en 30-45 minutes environ. Si vous avez une voiture, les plus belles côtes sont entre Sperlonga et Gaète au sud, ce qui est un peu loin. Le Lido di Ostia est la côte la plus proche de Rome, avec ses étendues de sable loin d’être les plus attrayantes, mais qui ont leur intérêt. Entre les deux se trouvent toutefois de belles plages, comme les Grottes de Néron à Anzio ; la plage sauvage de Torre Astura où un ancien fort est ceinturé par les eaux ; les grandes étendues de sable et leurs dunes de la Bufalara à Sabaudia ; jusqu’au parc naturel de Circeo avec au pied du beau promontoire de Circée les criques rocheuses de Batteria Punta Rossa.
Vers le nord se trouvent aussi de belles étendues de sable, tel qu’à Santa Severa près de Santa Marinella, au pied d’un beau château, ou la plage sauvage à Torre Flavia près de Cerveteri.
Que se soit vers le nord ou vers le sud, il y a de grandes langues de sable, les moins bétonnées étant vers le sud où se trouvent aussi les plus beaux villages et sites remarquables.
Plage de la Bufalara (Sabaudia)
Lido di Ostia
Bien qu’elles ne soient pas les plus belles, et parfois bombées et pas très propres en été, les plages du Lido di Ostia ont quand même leur charme et sont facilement accessibles depuis Rome, se trouvant en plus près du site antique d’Ostie. En outre les équipements de la ville sont nombreux sur ce littoral qui offre beaucoup de bars, restaurants, etc. Un bus mènent vers le sud aux cancellioù les plages sont davantage agréables (des espaces libres se trouvent entre les zones payantes).
Comment s’y rendre ?
Prendre le train ROMA LIDO, en direction de « Lido di Ostia » par exemple depuis la gare PIRAMIDE OSTIENSE (sur le métro B) Ensuite pour l’arrêt, deux possibilités :
Pour la plage la plus proche : descendre à la station « Stella Polare », puis marcher (environ 10 minutes) vers le sud. Plusieurs plages sont libres d’accès, d’autres sont payantes.
Pour des plages plus sympas : descendre à la Station C. Colombo (terminus), prendre le bus 07 : « Torvajanica, linea 07 Mare ». Ce bus s’arrête aux divers « cancelli » (de 1 à 7) accès aux plages, qui se succèdent tous les 500 mètres environ. Beaucoup d’espaces de plages sont payant pour se poser, mais des portions sont libres d’installations. Capocotto, une des préférées des romains, est aussi nudiste.
AU SUD D’OSTIE
Plages d’Ostie à Anzio et Nettuno
La route longe de longues étendues de sable et de dunes, dont celle de Capocotta près d’Ostie.
Les Grottes de Néron *, à Anzio, au pied du Cap d’Anzio et de la villa romaine impériale, est une jolie plage avec les anciennes grottes et des ruines. A Anzio débarquèrent les américains.
Non loin, Nettuno conserve un ancien centre.
Accès en train : vous pouvez arriver en une heure environ avec un train régional direct de Rome Termini à la gare d’Anzio ou de Nettuno.
Torre Astura
Après Anzio et Nettuno, en bordure de la zone militaire, à Torre Asutra * se trouve une belle pinède et plage sauvage, souvent peu fréquentée, à laquelle on accède par 15 minutes de marche environ depuis le parking. Il y a ici une ancienne forteresse baignée par les eaux.
Plaine pontine et parc de Circée
De très grandes et longues plages longent la route entre les marais de la plaine pontine et la mer, incluses dans la réserve naturelle de Circée. La plage de la Bufalara à Sabaudia * est une longue langue de sable dans un beau cadre préservé avec ses dunes. Jusqu’à Torre Paola, il y a de belles et longues étendues de sable.
A Batteria Punta Rossa*, près de San Felice Circeo, au pied des falaises du promontoire, les criques rocheuses ont des eaux transparentes, vertes et émeraudes. Parmi les plus belles de la région.
De San Felice Circeo jusqu’à Terracina
Plages de San Felice Circeo puis, puis celles jusqu’à Terracina. Cette dernière est surtout une ville avec un remarquable patrimoine antique dont les vestiges du temple sur la colline.
Plages de Sperlonga
Sperlonga est une des destinations préférées des romains. Se trouvent plusieurs plages sympas, le joli bourg et la villa de Tibère.
Accès en train : 1H30 en train depuis Roma Termini jusqu’à la gare Fondi-Sperlonga, puis le bus mène au bourg ou aussi à la plage en saison.
Plages entre Sperlonga et Gaète
Très belle portion côtière entre Sperlonga et Gaète, avec des plages au pied de falaises de Sperlonga à Gaète, dont la plage Sant’Agostino, ou la très belle plage des 300 marches * (300 gradini, ou dite aussi dell’arenauta). Cette dernière porte bien son nom, on y accède par 300 marches d’escalier. Elle est payante.
Gaète et Formia
La plage de Serapo est la jolie plage de Gaète.
AU NORD D’OSTIE
Fregene
Fregene est connue pour son chic, avec ses villas fréquentées par le monde du cinéma et de la culture, et aussi pour le « Village des Pêcheurs » créé par des artistes après la Seconde Guerre mondiale, la pinède historique et les oasis WWF de Macchiagrande et Maccarese.
Accès en train : 30 minutes de train permettent de s’y rendre, de Roma Termini à la gare de Maccarese-Fregene. Puis les bus Cotral mènent à Fregene Lungomare.
Torre Flavia
Torre Flavia *, entre Ladispoli et Cerveteri, avec ses eaux transparentes et son sable doré autour d’une tour médiévale, près des marais d’une zone humide protégée.
Santa Marinella et Santa Severa
Joignable en train, il se trouve de belles plages à Santa Marinella et aux environs. Le littoral alterne zones de sable puis de rochers. Les plages sont réputées pour leurs vagues et beaucoup bien équipés, bars, etc.
La plage de Santa Severa *, près de Santa Marinella, est une jolie étendue de sable fin et de belles eaux baignant les pieds de l’ancien château et d’un port antique étrusque de Pyrgi sous les eaux.
Accès en train : Il faut une heure de train de Roma Termini à la gare de Santa Marinella ou à celle de Santa Severa (moins en partant de Roma Ostiense). Quelquues minutes de marche mènent à la plage la plus proche.
Galerie
Torre Astura
Fogliano – La Bufalara (Sabaudia)
La Bufalara (Sabaudia)
Plage de San Felice Circeo
Vue sur la plage de Terracina
Sperlonga
Trecento gradini (Gaète)
Serapo (Gaète)
San Severa (Santa Marinella)
Plan de la région avec les plages et sites
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Proche de Rome, à près de 20 km du centre, se trouve Castel Gandolfo et les autres villages perchés des Castelli Romani. Cette région des Monts Albains est formée d’un parc régional avec deux lacs entourées de bois, les Lac d’Albano et Lac de Nemi. Les romains aiment souvent y prendre l’air le week-end, en particulier l’été pour profiter de la fraicheur des lacs et de son altitude, de ses petites villes, et pour beaucoup de sa gastronomie locale. Celle-ci est centrée sur la porchetta (le porcelet à la broche) qui en est la spécialité, associée au fromage, à la charcuterie et au petit vin local. Que de choses fort plaisantes !
Lac de Nemi
Lieux et villages des castelli
Plusieurs sites naturels, architecturaux et centres historiques à découvrir dans les Castelli :
Le village de Castel Gandolfo où se trouve la remarquable résidence d’été du Pape perché sur le lac d’Albano, le Palais des Papes.
Le petit village de Nemi perché sur un promontoire au dessus du lac homonyme, connu pour ses petites fraises.
Le Lac de Nemi avec ses petites plages, ses eaux claires et le musée des bateaux romains qui présente les restes et documente les deux grands bateaux romains qui étaient voués aux spectacles, qui ont été sortis du lac en le vidant de ses eaux !
Le Lac d’Albano avec sa plage et ses sentiers de découverte.
Le centre d’Albano Laziale et les vestiges romains dispersés dans la ville, dont une des plus importantes citernes romaines d’Italie, un théâtre, ou des tombes.
Le site archéologique de l’antique Tusculum, une ancienne cité latine liée aux légendes de la fondation de Rome.
Le village d’Arricia avec ses fraschette, les tables conviviales où l’on s’installe pour diner et profiter de la gastronomie de la région.
La Via Sacra, un chemin romain pavé qui menait à un sanctuaire du Mont Caro, passant par le belvédère avec une vue sur les deux lacs.
Le village de Lanuvio avec ses pierres antiques éparpillées dans le centre historique, et le Temple de Junon.
La Villa Aldobrandini à Frascati du XVIe siècle avec ses jardins à l’italienne.
L’Abbaye de Saint-Nile remontant au XIe siècle à Grottaferrata, un des plus bels édifices religieux des castelli, de rite orthodoxe.
Les restaurants de Genzano di Roma
D’autres villes ne manquent pas d’intérêt, tel que les bourgs de Rocca Priora, Montecompatri, Rocca di Papa, et Genzano di Roma.
Carte des Castelli Romani
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Proche de Rome, à près de 20 km du centre, se trouve Castel Gandolfo et les autres villages perchés des Castelli Romani. Cette région des collines d’Albani est formée d’un parc régional avec deux lacs entourées de bois, les Lac d’Albano et Lac de Nemi. Les romains aiment souvent y prendre l’air le week-end, en particulier l’été pour profiter de la fraicheur des lacs et de son altitude, de ses petites villes, et pour beaucoup de sa gastronomie locale. Celle-ci est centrée sur la porchetta (le porcelet à la broche) qui en est la spécialité, associée au fromage, à la charcuterie et au petit vin local. Que de choses fort plaisantes !
Lac de Nemi
Lieux et villages des castelli
Plusieurs sites naturels, historiques et centres historiques sont à y découvrir :
Le village de Castel Gandolfo où se trouve la remarquable résidence d’été du Pape perché sur le lac d’Albano, le Palais des Papes.
Le petit village de Nemi perché sur un promontoire au dessus du lac homonyme, connu pour ses petites fraises.
Le Lac de Nemi avec ses petites plages, ses eaux claires et le musée des bateaux romains qui présente les restes et documente les deux grands bateaux romains de représentations qui ont été sortis du lac en le vidant de ses eaux !
Le Lac d’Albano avec sa plage et ses sentiers de découverte.
Le centre d’Albano Laziale et les vestiges romains dispersés dans la ville, dont une des plus importantes citernes romaines d’Italie, un théâtre, ou des tombes.
Le site archéologique de l’antique Tusculum, une ancienne cité latine liée aux légendes de la fondation de Rome.
Le village d’Arricia avec ses fraschette, les tables conviviales où l’ont s’installe pour diner et profiter de la gastronomie des castelli.
La Via Sacra, un chemin romain pavé qui menait à un sanctuaire du Mont Caro, et le belvédère avec une vue sur les deux lacs.
Le village de Lanuvio avec ses pierres antiques éparpillées dans le centre historique, et le Temple de Junon.
La Villa Aldobrandini à Frascati du XVIe siècle avec ses jardins à l’italienne.
L’Abbaye de Saint-Nile remontant au XIe siècle à Grottaferrata, un des plus bels édifices religieux des castelli, de rite orthodoxe.
Les restaurants de Genzano di Roma
D’autres villes ne manquent pas d’intérêt, tel que les bourgs de Rocca Priora, Montecompatri, Rocca di Papa, et Genzano di Roma.
Carte des Castelli Romani
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Le Lac de Bracciano se trouve à près de 50 km au nord de Rome, où la ville petite homonyme de Bracciano est bien connectée par le train à la ville éternelle. On peut en particulier y visiter son petit centre médiéval près de son beau château. Le lac est la caldéra d’un ancien volcan qui fut actif il y a 400.000 ans, dont le périmètre est de 31,5 km. Le petit Lac de Martignano qui est de l’autre côté d’une colline à 2 km du grand lac est entouré par la nature, apprécié pour la baignade, avec quelques installations gratuites au sud et payantes au nord. Ce sont des destinations prisées par les romains, pour les quelques plages, les petits villages comme Bracciano, Anguillara Sabazia et Trevignano, et quelques sentiers de marche et de vélo. Parlons aussi de Monterano, un suggestif village fantôme situé à près de 10 km de Bracciano, avec des vestiges de l’époque baroque situés dans une réserve naturelle.
Le château de Bracciano
Anguillara Sabauzia
Vallée de la Treja
Au nord-est du Lac de Bracciano, au sud de la Tuscie, la Treja est une petite rivière dont la vallée est protégée dans un parc naturel. Ses eaux creusèrent le tuf – abondant dans la région – pendant des millénaires, créant de jolis endroits. Au nord du parc l’authentique petit bourg de Calcata est perché sur un promontoire dans un superbe site. Les eaux de la rivière sont bordées de bois et créent par endroits des cascades, dont les cascades du Monte Gelato (qui fut un lieu de tournage d’un Trinità de l’époque du western spaghetti). Parmi les sites et curiosités, mentionnons le village de Mazzano Romano, l’oppidum de l’ancienne cité falisque de Narce (les falisques furent un peuple proche des étrusques), des nécropoles étrusques, des moulins abandonnés, etc. Des sentiers balisés permettent de découvrir le parc.
Calcata vue depuis le site de Narce
Cascade du Monte Gelato
Carte
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Le Lac de Bracciano se trouve à près de 50 km au nord de Rome, où la ville petite homonyme de Bracciano est bien connectée par le train à la ville éternelle. On peut en particulier y visiter son petit centre médiéval près de son beau château. Le lac est la caldéra d’un ancien volcan qui fut actif il y a 400.000 ans, dont le périmètre est de 31,5 km. Le petit lac de Martignano qui est de l’autre côté d’une colline à 2 km du grand lac est entouré par la nature, apprécié pour la baignade, avec quelques installations gratuites au sud et payantes au nord. Ce sont des destinations prisées par les romains, pour les quelques plages, les petits villages dont Bracciano, Anguillara Sabazia et Trevignano, et quelques sentiers de marche et de vélo. Parlons aussi de Monterano, un suggestif village fantôme situé à près de 10 km de Bracciano, avec des vestiges de l’époque baroque, se trouvant dans une réserve naturelle.
Le château de Bracciano
Anguillara Sabauzia
Vallée de la Treja
Au nord-est du Lac de Bracciano, au sud de la Tuscie, la Treja est une petite rivière dont la vallée est protégée dans un parc naturel. Ses eaux creusèrent le tuf – abondant dans la région – pendant des millénaires, créant de jolis endroits. Au nord du parc l’authentique petit bourg de Calcata est perché sur un promontoire dans un superbe site. Les eaux de la rivière sont bordées de bois et créent par endroits des cascades, dont les cascades du Monte Gelato (qui fut un lieu de tournage d’un Trinità du western spaghetti). Parmi les sites et curiosités, mentionnons le village de Mazzano Romano, ou l’oppidum de l’ancienne cité falisque de Narce (les falisques furent un peuple proche des étrusques), des nécropoles étrusques, des moulins abandonnés, etc. Des sentiers balisés permettent de découvrir le parc.
Calcata vue depuis le site de Narce
Cascade du Monte Gelato
Carte
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Découvrez sur cette page les autres lieux intéressants de la province, de Subiaco avec ses monastères au port de Civitavecchia, en passant par le sanctuaire de Palestrina, la cité marchande antique de Feronia, les Monts Simbruini, etc.
Les lieux les plus intéressants
Véies et le parc naturel de Veio
A moins de 20 km du centre de Rome, se trouvait la puissante cité-état étrusque de Véies, conquise lors de l’expansion de Rome, et presque disparue depuis. Aujourd’hui le site garde peu de traces visibles de son passé, hors des structures avec des terrassements et des nécropoles. Mais le site, couvert de champs et de de points de vue est suggestif. Il s’inscrit au sein du vaste parc naturel de Véies qui s’étend entre les Via Flaminia et Via Cassia.
Subiaco et ses environs
Près du village de Subiaco, le Monastère de Saint-Benoit est construit sur une falaise des contreforts des Monts Simbruini. Il fut fondé par Benoit de Nursie lui-même au VIe siècle – fondateur aussi de l’ordre bénédictin- , après qu’il ait séjourné dans une grotte du site, dite “Sacro Speco” (Sainte grotte). Les deux églises gardent de superbes fresques des XIIIe au XVe siècles.
Palestrina
Palestrina, l’ancienne Praeneste, fut une importante cité latine avant d’être conquise par les romains. Elle fut célèbre pour son grand sanctuaire oraculaire de Fortuna Primigenia, dont il reste d’importants vestiges et un musée.
Mont Soracte
Le Mont Soracte (Monte Soratte en italien) est une curieuse montagne qui se dresse au milieu d’une vaste plaine du Tibre, au sud de Civita Castellana (voir province de Viterbe). Son côté oriental est occupé par le joli village de Sant’Oreste, alors que la montagne, depuis toujours liée à des mythes et religions, est inscrite dans un parc protégé avec plusieurs sanctuaires. Le flan sud fut creusé pour un abris militaire en 1937, occupé par les allemands en 1943-44, converti pendant la guerre froide en abri anti-atomique. Aujourd’hui démilitarisé, on peut visiter une partie des 4 km de galeries.
Feronia
Site archéologique de Feronia (Lucus Feroniae) qui avait une importante fonction commerciale et surtout un important sanctuaire religieux, où se rencontraient Latins, Sabins et Étrusques, avant de devenir une petite ville romaine.
Civitavecchia
Civitavecchia est une ville portuaire de taille moyenne, en grande partie détruite lors de la deuxième guerre mondiale, qui a toutefois le charme d’une ville populaire vivant de la mer. Elle a une vaste promenade en front de mer, une forteresse côtière et un tout petit centre ancien.
Monts Simbruini et Monts Lucrétiliens
Les Monts Simbruini, sur les pentes des Apennins qui dépassent jusqu’à les 2000 mètres, dans une réserve protégée.
Le parc des Monts Lucrétiliens, partie méridionale de la sabine, avec ses sommets à près de 1000 mètres et ses villages.
Véies et le parc naturel de Veio A moins de 20 km du centre de Rome, se trouvait la puissante cité-état étrusque de Véies, conquise lors de l’expansion de Rome, et presque disparue depuis. Aujourd’hui le site garde peu de traces visibles de son passé, hors des structures, des terrassements et nécropoles. Mais le site, couvert de champs et de de points de vue est suggestif. Il s’inscrit au sein du vaste parc naturel de Véies qui s’étend entre les Via Flaminia et Via Cassia.
Subiaco et ses environs Près du village de Subiaco, le Monastère de Saint-Benoit est construit sur une falaise des contreforts des Monts Simbruini. Il fut fondé par Benoit de Nursie lui-même au VIe siècle – fondateur aussi de l’ordre bénédictain- , après qu’il ait séjourné dans une grotte du site, dite “Sacro Speco” (Sainte grotte). Les deux églises gardent de superbes fresques des XIIIe au XVe siècles.
Palestrina, l’ancienne Praeneste, fut une importante cité latine avant d’être conquise par les romains. Elle fut célèbre pour son grand sanctuaire oraculaire de Fortuna Primigenia, dont il reste d’importants vestiges.
Le Mont Soracte (Monte Soratte en italien) est une curieuse montagne qui se dresse au milieu d’une vaste plaine du Tibre, au sud de Civita Castellana (voir province de Viterbe). Son côté oriental est occupé par le joli village de Sant’Oreste, alors que la montagne, depuis toujours liée à des mythes et religions, est inscrite dans un parc protégé avec plusieurs sanctuaires. Le flan sud fut creusé pour un abris militaire en 1937, occupé par les allemands en 1943-44, converti pendant la guerre froide en abri anti-atomique. Aujourd’hui démilitarisé, on peut visiter une partie des 4 km de galeries.
Site archéologique de Feronia (Lucus Feroniae) qui avait une importante fonction commerciale et surtout un important sanctuaire religieux, où se rencontraient Latins, Sabins et Étrusques, avant de devenir une petite ville romaine.
Les Monts Simbruini, sur les pentes des Apennins qui dépassent jusqu’à les 2000 mètres, dans une réserve protégée.
Le parc des Monts Lucrétiliens, partie méridionale de la sabine, avec ses sommets à près de 1000 mètres et ses villages.
Galerie photos
Monastère Saint-Benoit à Subiaco
Sanctuaire de la Fortuna Primigenia à Prenestina
Territoire de Véies
Lucus Feroniae
Vue sur le Mont Soracte
Cascade de Trevi nel Lazio
Le Mont Soracte vu de Cività Castellana
Bunker du Mont Soracte
Musée du Mont Soracte
Carte
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La ville de Viterbe est une belle destination du Latium, en particulier pour son patrimoine religieux et son quartier médiéval. Sa province qui s’étend aussi autour du Lac de Bolsena, est particulièrement riche en sites étrusques, mais aussi en bourgs de caractère comme Cività et Sutri, ou petites villes médiévales telle que Orte, Tuscania ou Tarquinia. Elle intègre aussi la grande partie de la région historique de Tuscie, un territoire étrusque caractérisé par une belle campagne, des collines boisées et des affleurements de tuf ocre. Elle conserve sa propre identité et son caractère, dont les autochtones s’enorgueillissent. Les sites archéologiques étrusques sont nombreux et fascinants, avec avant tout des nécropoles creusées dans les falaises de tuf. C’était aussi au XVIe siècle le territoire de la famille Farnèse, qui y construisirent palais et châteaux un peu partout, dont se distingue le Palais Farnèse de Caprarola.
Viterbe dont son quartier médiéval de San Pellegrino, le Palais des Papes et la cathédrale, les musées archéologiques, ainsi que la proche Villa Lante.
Le limpide Lac de Bolsena, propice à la détente en famille, avec ses plages, villages comme la médiévale Bolsena, les charmants bourgs côtiers de Marta et de Capodimonte, ou Montefiscone avec sa rocca qui domine le lac et l’abbaye San Flaviano.
Le joli petit Lac de Vico avec ses berges boisées, et le village médiéval de Ronciglione.
Sutri : village aux multiples aspects, des nécropoles étrusques aux monuments romains (amphithéâtre creusé dans le tuf), médiévaux, etc.
Caprarola avec le Palais Farnèse, une forteresse médiévale transformée par les Farnèse en somptueuse demeure
Orte : ville médiévale d’origine étrusque et romaine à la frontière avec l’Ombrie dont le cœur historique est bien conservé et les souterrains antiques peuvent être explorés
Parc des monstres de Bomarzo, dit aussi Bois Sacré
Cività di Bagnoreggio est un des plus beaux villages du Latium pour son site remarquable, perché sur son rocher de tuf que l’on rejoint par un pont
Tuscania : beau village médiéval avec de remarquables édifices religieux
Tarquinia : les nécropoles et le superbe village, ainsi que le site de la cité antique
Cività Castellana est une intéressante petite ville avec une belle cathédrale, ancienne capitale des Falisques – peuple italique proche des étrusques- , dans la région dite Agro Falisco.
Les villages de Nepi, Castel Sant’Elia, et entre cette dernière et la Falerii antique, les nécropoles le long de la Via Amerina
Sites étrusques et archéologiques :
Norchia : vestiges étrusques dispersés dans la nature autour d’une ancienne acropole
A proximité dans la région d’Ombrie vers la frontière du Latium on peut faire de belles découvertes. A commencer par la ville d’Orvieto avec son beau centre historique et surtout son exceptionnelle cathédrale gothique, puis les villes médiévales de Narni (dont ses souterrains) et d’Amelia qui a aussi gardé des murs cyclopéens datant de l’antiquité.
Viterbe
Quartier de San Pellegrino (Viterbe)
Parc des monstres de Bomarzo
Palais Farnèse (Caprarola)
Lac de Bolsena à Marta
Lac de Vico
Sutri
Tuscania
Cathédrale de Cività Castellana
Théâtre romain de Sutri
Centre historique d’Orte
Castel Sant’Elia
Nepi
Via Amerina
Carte
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La ville de Viterbe est une belle destination du Latium, en particulier pour son patrimoine religieux et son quartier médiéval. Sa province qui s’étend aussi autour du Lac de Bolsena, est particulièrement riche en sites étrusques, mais aussi en bourgs de caractère comme Cività et Sutri, ou petites villes médiévales telle que Orte, Tuscania ou Tarquinia. Elle intègre aussi la grande partie de région historique de Tuscie, un territoire étrusque caractérisé par une belle campagne, des collines boisées et des affleurements de tuf ocre. Elle garde une identité propre et du caractère, que les habitants ne cachent d’ailleurs pas. Les sites archéologiques étrusques sont nombreux et fascinants, avant tout des nécropoles creusées dans les falaises de tuf. C’était aussi au XVIe siècle le territoire de la famille Farnèse, qui y construisirent palais et châteaux un peu partout, dont se distingue le Palais Farnesina de Caprarola.
Viterbe dont son cathédrale médiéval de San Pellegrino, le Palais des Papes, et la proche Villa Lante
Le limpide Lac de Bolsena, propice à la détente en famille, avec ses plages, villages comme Bolsena, Marta ou Capodimonte
Le joli petit Lac de Vico avec ses berges boisées
Orte : ville médiévale d’origine étrusque et romaine à la frontière avec l’Ombrie dont le cœur historique est bien conservé et les souterrains antiques peuvent être explorés
Sutri : village aux multiples aspects, des nécropoles étrusques aux monuments romains (amphithéâtre creusé dans le tuf), médiévaux, etc.
Parc des monstres de Bomarzo
Cività di Bagnoreggio est un des plus beaux villages du Latium pour son site remarquable, perché sur son rocher de tuf
Caprarola avec le Palais Farnesina
Tuscania : beau village médiéval avec de remarquables édifices religieux
Tarquinia : les nécropoles et le superbe village, ainsi que le site de la cité antique
Cività Castellana est une intéressante petite ville avec une belle cathédrale
Sites étrusques et archéologiques :
Norchia : vestiges étrusques dispersés dans la nature autour d’une ancienne acropole
A proximité dans la province d’Ombrie : la ville d’Orvieto avec son beau centre historique et une cathédrale exceptionnelle, les villes médiévales de Narni dont ses souterrains, et d’Amelia qui a aussi des murs cyclopéens datant de l’antiquité.
Viterbe
Quartier de San Pellegrino (Viterbe)
Parc des monstres de Bomarzo
Palais Farnesina (Caprarola)
Lac de Bolsena à Marta
Lac de Vico
Sutri
Tuscania
Cathédrale de Cività Castellana
Théâtre romain de Sutri
Centre historique d’Orte
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Sur la route de Naples, se découvrent dans la province de Frosinone de beaux endroits en particulier à Anagni avec son remarquable complexe religieux. A Montecassino, l’abbaye de Mont-Cassin fut fondée par Saint-Benoit au VIe siècle et fut le théâtre d’une grande bataille lors de la deuxième guerre mondiale. Entre ces deux derniers sites, se trouvent des villages de caractère comme Alatri et Arpino avec leurs murs cyclopéens, le village d’origine romaine de Ferentino, ainsi que la région désignée traditionnellement comme la Ciocciara dont les contreforts des Apennins de Alvito à Sora.
L’abbaye de Mont-Cassin vue depuis le cimetière polonais
Sites à découvrir
Anagni est un beau village avec son importante et belle Cathédrale de Santa Maria, construite en 1071 et 1105, des rues médiévales et palais comme le Palais de Bonifacio.
Près de Cassino se trouve l’impressionnante Abbaye de Mont-Cassin a été fondée en l’an 529 par Benoit de Nursie, fondateur de l’ordre bénédictin, sur une montagne a l’endroit d’un ancien castrum romain. A côté, le cimetière polonais rappelle l’importante bataille de la IIe guerre mondiale quand les bombardements rasèrent l’abbaye où les allemands s’étaient retranchés. En bordure du bourg, on découvre les intéressants vestiges de la ville romaine de Cassino.
Au nord-ouest, elle partage une partie du parc naturel des Monts Simbruini avec la province de Rome, où des sommets dépassent les 2000 mètres, dont deux petites stations de ski. Sur le chemin des cols, dans un site isolé immergé au cœur de la verdure, se trouve la Chartreuse de Trisulti, une oasis de paix avec ses belles pierres et jardins.
Autres lieux de La Ciocciara, d’ouest en est :
Ferentino est un village pittoresque d’origine romaine
Alatri est aussi un joli village, avec surtout une impressionnante acropole protégée par de remarquables murs cyclopéens
Veroli a un grand centre historique d’origine médiévale
Près de Veroli, l’Abbaye de Casamari est un très bel édifice fondé par les cisterciens au XIe siècle.
Sora est la principale ville de la Ciocciara des hauteurs, proche du joli Lac de Posta Fibreno et d’Isola del Liri connue pour la jolie cascade dans le centre ville
Arpino a gardé son ancienne acropole entourée de quelques beaux murs cyclopéens, et un charmant centre historique où se croisent des vestiges antiques
Alvito avec sa belle vue est un village pittoresque, où les ruelles grimpent à flan de colline jusqu’au vieux château
Dans les environs, se découvrent de jolis villages perchés et châteaux : château de Vicalvi, village des contreforts Apennins de San Donato Val di Comino, le bourg d’Atina, le château de Roccasecca, le bourg médiéval de Boville Ernica, ou encore le suggestif Monte San Giovanni Campano avec son beau château ducal
Anagni
Abbaye de Casamari
Arpino
Acropole d’Alatri
Ferentino
Veroli
Lac de Posta Fibreno
Alvito
Carte
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La province de Latina longe la côte au sud-est de Rome. On peut y découvrir de belles plages et portions côtières, mais aussi de petites villes et villages historiques, comme la belle Gaète qui est la plus à l’est, Terracina et Sperlonga, des sites naturels dont le Parc du Mont Circé, des sanctuaires, etc. Elle intègre aussi les charmantes îles Pontines dont Ponza à 1h20 de traversée. Sa capitale provinciale, Latina, n’est pas une destination touristique, mais c’est une ville particulière, ayant été fondée en 1932 lors de l’assainissement des marais de la région à l’époque fasciste, en tant que ville modèle.
Vue sur Gaète
A voir, d’ouest en est (pour les plages reportez-vous à la page dédiée aux plages du Latium) :
Dans les terres, Cori est un charmant bourg qui a gardé de beaux vestiges romains dans sa vieille ville, dont ceux de temples
Non loin, de Cori, Norma est un village situé à côté des vastes et suggestifs vestiges de l’antique Norba, dont des murs cyclopéens, qui est aussi un site de décollage de parapentistes.
Au pied de Norma, les Jardins de Ninfa aménagés au milieu des vestiges d’un village médiéval abandonné, particulièrement fleuris au printemps.
Toujours dans les terres, Sermoneta est un joli bourg médiéval, voisin de la jolie abbaye de Valvisciolo
L’abbaye de Fossanova est une des plus belles de la région fondée par les bénédictins au IXe siècle
Sur la côte une réserve naturelle incorpore les marais et le littoral avec de belles et grandes plages de Sabaudia jusqu’au Mont Circé
Contre le Mont Circé San Felice Circeo a un joli petit centre historique qui domine la côte
Terrracina est une intéressante ville où les vestiges romains et médiévaux se découvrent dans son centre historique, avec le site du temple de Jupiter à proximité qui domine la côte.
Fondi, ville qui a gardé son plan urbain romain, qui a son charme sans être touristique.
Sperlonga est un joli bourg avec ses ruelles de maisons blanches sur un promontoire. S’y trouvent aussi la Villa de Tibère et ses belles plages.
Itri est un village avec un château médiéval et un bourg fortifié. A quelques kilomètres en direction de Formia se trouvent de belles portions de l’antique Voie Appienne.
Gaète est probablement la plus intéressante des villes de la province, dont le centre historique remonte aux romains, avec plusieurs sanctuaires, l’imposant château angevin-aragonais qui domine la mer, et les belles plages vers Sperlonga.
Formia : jolie ville typique, peu touristique, avec sa citerne romaine et dans l’arrière-pays une très belle montagne sauvage et ses panoramas du parc des Monts Auruci
Le site archéologique de la Minturno antique, et entre Formia et Minturno la côte rocheuse du Parc de Gianola et du Mont de Scauri où des vestiges romains ont littéralement les pieds dans l’eau
Cori
Norba antica
Jardins de Ninfa
Sermoneta
Abbaye de Fossanova
Mont Circée
San Felice Circeo
Terracina
Fondi
Sperlonga
Itri
Formia
Gaète
Minturno
Carte
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Sur la route de Naples, se découvrent dans la province de Frosinone de beaux endroits en particulier à Anagni avec son remarquable complexe religieux. A Montecassino, l’abbaye de Mont-Cassin fut fondée par Saint-Benoit au VIe siècle et fut le théâtre d’une grande bataille lors de la deuxième guerre mondiale. Entre ces deux derniers sites, se trouvent des villages de caractère comme Alatri et Arpino avec leurs murs cyclopéens, le village d’origine romaine de Ferentino, ainsi que la région désignée traditionnellement comme la Ciocciara dont les contreforts des Apennins de Alvito à Sora.
L’abbaye de Mont-Cassin vue depuis le cimetière polonais
Quelques sites que l’on peut découvrir dans la province :
Anagni est un beau village avec son importante et belle Cathédrale de Santa Maria, construite en 1071 et 1105, des rues médiévales et palais comme le Palais de Bonifacio.
Près de Cassino se trouve l’impressionnante Abbaye de Mont-Cassin a été fondée en l’an 529 par Benoit de Nursie, fondateur de l’ordre bénédictin, sur une montagne a l’endroit d’un ancien castrum romain. A côté, le cimetière polonais rappelle l’importante bataille de la IIe guerre mondiale quand les bombardements rasèrent l’abbaye où les allemands s’étaient retranchés. En bordure du bourg, on découvre les intéressants vestiges de la ville romaine de Cassino.
Autres lieux de La Ciocciara, d’ouest en est :
Ferentino est un village pittoresque d’origine romaine
Alatri est aussi un joli village, avec surtout une impressionnante acropole protégée par de remarquables murs cyclopéens
Veroli a un grand centre historique d’origine médiévale
Près de Veroli, l’Abbaye de Casamari est un très bel édifice fondé par les cisterciens au XIe siècle.
Sora est la principale ville de la Ciocciara des hauteurs, proche du joli Lac de Posta Fibreno et d’Isola del Liri connue pour la jolie cascade dans le centre ville
Arpino a gardé son ancienne acropole entourée de quelques beaux murs cyclopéens, et un charmant centre historique où se croisent des vestiges antiques
Alvito avec sa belle vue est un village pittoresque, où les ruelles grimpent à flan de colline jusqu’au vieux château
Dans les environs, se découvrent de jolis villages perchés et châteaux : château de Vicalvi, village des contreforts Apennins de San Donato Val di Comino, le bourg d’Atina, le château de Roccasecca, le bourg médiéval de Boville Ernica, ou encore le suggestif Monte San Giovanni Campano avec son beau château ducal
Anagni
Abbaye de Casamari
Arpino
Acropole d’Alatri
Ferentino
Veroli
Lac de Posta Fibreno
Alvito
Carte
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Cette province longe la côte au sud-est de Rome. On peut y profiter de belles plages et portions côtières, mais aussi de petites villes et villages historiques, comme la belle Gaète qui est la plus à l’est, Terracina et Sperlonga, et des sites naturels dont le Parc du Mont Circé, des sanctuaires, etc. Elle compte aussi les charmantes îles Pontines dont Ponza. Sa capitale provinciale, Latina, n’est pas une destination touristique, mais c’est une ville particulière, ayant été construite lors de l’assagissement des marais de la région à l’époque fasciste, en tant que ville modèle.
Vue sur Gaète
A voir, d’ouest en est (pour les plages reportez-vous à la page dédiée aux plages du Latium) :
Dans les terres, Cori est un charmant bourg qui a gardé de beaux vestiges romains dans sa vieille ville, dont ceux de temples
Non loin, de Cori, Norma est un village situé à côté des vastes et suggestifs vestiges de l’antique Norba, dont des murs cyclopéens, qui est aussi un site de décollage de parapentistes.
Au pied de Norma, les Jardins de Ninfa aménagés au milieu des vestiges d’un village médiéval abandonné, particulièrement fleuris au printemps.
Toujours dans les terres, Sermoneta est un joli bourg médiéval, voisin de la jolie abbaye de Valvisciolo
L’abbaye de Fossanova est une des plus belles de la région fondée par les bénédictins au IXe siècle
Sur la côte une réserve naturelle incorpore les marais et le littoral avec de belles et grandes plages de Sabaudia jusqu’au Mont Circé
Contre le Mont Circé San Felice Circeo a un joli petit centre historique qui domine la côte
Terrracina est une intéressante ville où les vestiges romains et médiévaux se découvrent dans son centre historique, avec le site du temple de Jupiter à proximité qui domine la côte.
Fondi, ville qui a gardé son plan urbain romain, qui a son charme sans être touristique.
Sperlonga est un joli bourg avec ses ruelles de maisons blanches sur un promontoire. S’y trouvent aussi la Villa de Tibère et ses belles plages.
Itri est un village avec un château médiéval et un bourg fortifié. A quelques kilomètres en direction de Formia se trouvent de belles portions de l’antique Voie Appienne.
Gaète est probablement la plus intéressante des villes de la province, dont le centre historique remonte aux romains, avec plusieurs sanctuaires, l’imposant château angevin-aragonais qui domine la mer, et les belles plages vers Sperlonga.
Formia : jolie ville typique, peu touristique, avec sa citerne romaine et dans l’arrière-pays une très belle montagne sauvage et ses panoramas du parc des Monts Auruci
Le site archéologique de la Minturno antique, et entre Formia et Minturno la côte rocheuse du Parc de Gianola et du Mont de Scauri où des vestiges romains ont littéralement les pieds dans l’eau
Cori
Norba antica
Jardins de Ninfa
Sermoneta
Abbaye de Fossanova
Mont Circée
San Felice Circeo
Terracina
Fondi
Sperlonga
Itri
Formia
Gaète
Minturno
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La province de Rieti se situe au nord de Rome. C’est la moins riche culturellement, mais pas du point de vue naturaliste. Elle est en partie formée par les collines des Monts Sabins couvertes d’oliviers, et en partie montagneuse avec des sommets des Apennins qui dépassent les 2000 mètres d’altitude. Plusieurs barrages y ont formés des lacs. Sa capitale Rieti est une jolie et intéressante ville qui fut romaine, située dans une plaine entourée de montagnes où abonde les eaux descendant des sommets. Elle fut longtemps une ville « aquatique » avec des canaux. La plaine est désormais drainée. Alentours se trouvent de joli bourgs de montagne, des lacs, des sanctuaires, et des sites naturels entre les Monts sabins vers Rome, le Reatino plus à l’ouest et les contreforts des Apennins au nord et vers Amatrice à l’est. Les sanctuaires de la Valle Santa furent en particulier fréquentés par Saint François.
Ville de Rieti
Que voir dans la province de Rieti
La jolie ville de Rieti, où convergent plusieurs vallées et rivières, qui a un suggestif patrimoine dans son centre historique, dont sa cathédrale et ses souterrains.
Jolies villages environnants du Reatino, dont la vallée du Velino avec Cittaducale et le lac de Paterno et les vestiges des thermes romains.
La Sabine et ses petits villages : les lacs de Turano et de Salto (bourgs de Posticciola, Colle di Tora, Castel di Tira), les sanctuaires (abbaye de Farfa, sanctuaire de Santa Vittoria à Monteleone) parmi les plus charmants villages Casperia, Collalto Sabino, Poggio Catino, Rocca Sinibalda, Rochette, Greccio, Monteleone et ses vestiges romains, etc
Au sud-est, la Réserve Naturelle du Mont Navegna et du Mont Cervia.
Aux confins du Latium, se trouve le village d’Amatrice à près de 1000 mètres d’altitude, dramatiquement meurtrie et en partie rasée par le tremblement de terre de 2016.
Les sommets des Apennins, dont le Mont Terminillo et sa station de ski, Amatrice et le flan occidental du Mont Gorzano
Galerie photo tour en Sabine
Collines de la Sabine
Rochette
Casperia
Cottanello
Montenero
Poggio Catino
Abbaye de Farfa
Sanctuaire de Santa Vittoria à Monteleone
Posticciola
Colle di Tora
Castel di Tora
Collalto Sabino
Rocca Sinibalda
Galerie photo Reatino
Cittaducale
Lac de Paterno
Souterrains de Rieti
Sanctuaire de Greccio
Col de Leonessa
Carte
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La province de Rieti se situe au nord de Rome. C’est la moins riche culturellement, mais pas du point de vue naturaliste. Elle est en partie formée par les collines des Monts Sabins couvertes d’oliviers, et en partie montagneuse avec des sommets des Apennins qui dépassent les 2000 mètres d’altitude. Plusieurs barrages y ont formés des lacs. Sa capitale Rieti est une jolie et intéressante ville qui fut romaine, située dans une plaine entourée de montagnes où abonde les eaux descendant des sommets. Elle fut longtemps une ville « aquatique » avec des canaux. La plaine est désormais drainée. Alentours se trouvent de joli bourgs de montagne, des lacs, des sanctuaires, et des sites naturels entre les Monts sabins vers Rome, le Reatino plus à l’ouest et les contreforts des Apennins au nord et vers Amatrice à l’est. Les sanctuaires de la Valle Santa furent en particulier fréquentés par Saint François.
Ville de Rieti
Que voir dans la province de Rieti
La jolie ville de Rieti, où convergent plusieurs vallées et rivières, qui a un suggestif patrimoine dans son centre historique, dont sa cathédrale et ses souterrains.
Jolies villages environnants du Reatino, dont la vallée du Velino avec Cittaducale et le lac de Paterno et les vestiges des thermes romains.
La Sabine et ses petits villages : les lacs de Turano et de Salto (bourgs de Posticciola, Colle di Tora, Castel di Tira), les sanctuaires (abbaye de Farfa, sanctuaire de Santa Vittoria à Monteleone) parmi les plus charmants villages Casperia, Collalto Sabino, Poggio Catino, Rocca Sinibalda, Rochette, Greccio, Monteleone et ses vestiges romains, etc
Au sud-est, la Réserve Naturelle du Mont Navegna et du Mont Cervia.
Aux confins du Latium, se trouve le village d’Amatrice à près de 1000 mètres d’altitude, dramatiquement meurtrie et en partie rasée par le tremblement de terre de 2016.
Les sommets des Apennins, dont le Mont Terminillo et sa station de ski, Amatrice et le flan occidental du Mont Gorzano
Galerie photo tour en Sabine
Collines de la Sabine
Rochette
Casperia
Cottanello
Montenero
Poggio Catino
Abbaye de Farfa
Sanctuaire de Santa Vittoria à Monteleone
Posticciola
Colle di Tora
Castel di Tora
Collalto Sabino
Rocca Sinibalda
Galerie photo Reatino
Cittaducale
Lac de Paterno
Souterrains de Rieti
Sanctuaire de Greccio
Col de Leonessa
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Bienvenue sur bestofrome.fr, site spécialement dédié au tourisme à Rome, avec ses principaux monuments et activités. Vous y trouverez les informations essentielles, conseils, outils pour voyager dans la ville éternelle, ainsi que des éclairages culturels et une sélection de bonnes adresses, cafés et restaurants.
La carte Roma Pass 48h est la formule réduite de la Roma Pass 72h , avec seulement une entrée incluse à un site/musée (au lieu de deux), et une durée de 48 heures (au lieu de 72 heures).
L’entrée gratuite pour un site/musée de Rome parmi les plus prestigieux de ceux qui sont conventionnés (Musées du Capitole, Colisée, Galerie Borghese, Mausolée d’Auguste, Musée National Étrusque, Musée National Romain, etc. Consultez la liste complète sur le site officiel : www.romapass.it/it/musei). Attention : Il faut souvent réserver à l’avance pour visiter les week-ends et jours fériés. Et pour d’autres lieux la réservation est toujours obligatoire comme au Colisée, à la Galerie Borghese, aux musées de de Rome Capitale, au Maxxi, au Musée National Romain, Thermes de Caracalla et au Palais Valentini avec la Domus Romane (voir l’encart ci-dessous).
Les autres sites visités sont ensuite accessibles au tarif réduit.
Un accès illimité aux transports en commun de la ville (réseau Atac) : bus, métro, trains locaux sur les lignes Roma-Pantano, Roma-Lido et Roma-Viterbo. Attention : Sont exclues les connexions spéciales Atac, les chemins de fer régionaux Trenitalia FR, le liaison Cotral Roma Tiburtina-Termini / aéroport Fiumicino, la liaison Trenitalia Leonardo Express entre Rome Termini et l’aéroport Fiumicino, et toutes les autres liasons avec les aéroports de Fiumicino et de Ciampino.
Accès à de nombreuses expositions et événements en cours à tarif réduit.
Expérience avec casque de réalité virtuelle immerssive AR au Cirque Maxime : Circo Maximo Experience
Accès gratuit aux toilettes du réseau P.Stop
Sa validité est de 48 heures (depuis le jour de son premier usage, musée ou transport)
Liens : achat en ligne avec l’annulation gratuite incluse (voir les conditions du vendeur en ligne)
Important au sujet des réservations supplémentaires
Pour les samedis, dimanches et jours fériés, la réservation est obligatoire la veille pour certains musées et sites archéologiques. La réservation obligatoire est cependant prévue pour plusieurs nombreux musées, même en semaine. Il est recommandé de vérifier le mode d’accès/réservation/horaires de chaque musée.
Le Colisée, le Forum Romain et le Palatin, la Galerie Borghese, le Mausolée d’Auguste et les fouilles archéologiques du Palais Valentini/Domus Romane prévoient, même pour les possesseurs de Rome Pass, la réservation obligatoire, même les jours ouvrables.
Il est recommandé de réserver au moins 10 jours à l’avance.
Vous pouvez réserver même si vous n’êtes pas encore en possession de votre carte Roma Pass, en fournissant toujours le nom du titulaire du pass.
L’OMNIA Card 72h est une des cartes les plus complètes, incluant notamment les services de la Roma Pass 72h, (pour la version au tarif plein), l’entrée aux Musées du Vatican, les bus touristiques, et d’autres services, soit en résumé :
Entrée aux Musées du Vatican et à la Chapelle Sixtine
Application audioguide multilingue pour visiter la Basilique Saint-Pierre
Basilique Saint-Jean-de-Latran et Cloître avec audioguide, entrée au Musée du Trésor (l’accès au Sancta Sanctorum n’est pas inclus)
Trajets en bus touristiques : Open Bus Hop-on Hop-off
Entrée au Carcer Tullianum (prison Mamerine)
La Vox City Guide, l’application pour visiter la ville avec carte, visite à pieds ou en transport, informations
La carte Roma Pass 72h avec 2 entrées gratuites au choix aux musées et/ou sites archéologiques de la ville de Rome (voir liste Roma Pass : Colisée, Forum romain, Galerie Borghese, Musées du Capitole, etc) et tarif réduit pour les autres visites suivantes des musées ou sites
Accès gratuit aux transports en commun Atac de la ville de Rome pendant 72 heures
Tarifs : à partir de 149 € (ou 69 € pour le tarif réduit) Annulation gratuite (notamment chez le vendeur proposé GetYour Guide : OMNIA Card 72 heures)
Pour les services Roma Pass
Pour visiter les samedis, dimanches et jours fériés, la réservation est obligatoire au moins la veille pour certains musées et sites archéologiques. En outre, la réservation est obligatoire pour certains musées ou sites, même en semaine, comme pour le Colisée, le Forum Romain et Palatin, la Galerie Borghese, le Mausolée d’Auguste et les fouilles archéologiques du Palais Valentini/Domus Romane
Omnia 72h à tarif réduit 6/17 (€ 69,00)
Version pour les 6-17 ans de la Omnia Card 72h, comprenant :
Musées du Vatican et Chapelle Sixtine
Application audioguide multilingue pour la Basilique Saint-Pierre
Basilique Saint-Jean-de-Latran et Cloître avec audioguide. Entrée au Musée du Trésor (l’accès au Sancta Sanctorum n’est pas inclus)
Visites avec les bus touristiques Open Bus Hop-on Hop-off
Entrée au Carcer Tullianum (prison mamertine)
La Vox City Guide, l’application pour visiter la ville avec carte, visite à pieds ou en transport, informations
ATTENTION : La version au tarif réduit ne comprend pas la ROMA Pass
Remarques
L’entrée aux musées, monuments, galeries et zones archéologiques de l’État italien est gratuite pour tous les citoyens de moins de 18 ans. Pour les citoyens de l’Union européenne âgés de 18 à 25 ans, le billet est de 2 €. (concessions similaires pour les citoyens des pays applicant une « réciprocité »).
L’entrée aux musées, monuments, galeries et zones archéologiques du Système muséal de Rome est gratuite pour tous les citoyens appartenant à l’Union européenne, âgés de moins de 6 ans.
L’accès aux transports sur le territoire de la commune de Rome est gratuit pour les enfants de moins de 10 ans, s’ils sont accompagnés d’un adulte ayant payé son accès.
L’OMNIA Card 24h offre pour un bref séjour des services et une sélection de sites intéressants liés au Vativan. Son coût est d’environ € 69 (€ 49 pour le tarif réduit).
Entrée aux Musées du Vatican et à la Chapelle Sixtine
Basilique Saint-Jean-de-Latran et Cloître avec audioguide, entrée au Musée du Trésor (l’accès au Sancta Sanctorum n’est pas inclus)
Trajets en bus touristiques : Open Bus Hop-on Hop-off
Entrée au Carcer Tullianum (prison Mamerine)
La Vox City Guide, l’application pour visiter la ville avec carte, visite à pieds ou en transport, informations
Visite guidée de l’une des Catacombes de Rome au choix entre : Catacombes de San Callisto, Catacombes de San Sebastiano, Catacombes de Priscilla, Catacombes de Sant’Agnese, Catacombes des Saints Marcellino et Pietro, Catacombes de Domitilla.
Tarifs préférentiels
Annulation gratuite (notamment chez le vendeur proposé GetYour Guide : OMNIA Card 24h)
Il faut réserver à l’avance pour visiter la catacombe (téléphone ou email)
La Rome Tourist Card est proposée par Tiqets, avec des services concentrés avant tout sur 3 grandes attractions de Rome : Colisée/Forum/Palatin, Musées du Vatican, et un site choisi (entre la basilique Saint-Pierre, le château Saint-Ange et la Galerie Borghese) avec d’autres services, pour un coût d’environ 95 €
Colisée, Forum romain et Palatin. Entrée unique à chacun des sites : Colisée et Forum/Palatin.
Musées du Vatican et Chapelle Sixtine : billets d’entrée sans file d’attente pour les Musées du Vatican et la Chapelle Sixtine.
Choix d’une entrée entre Basilique Saint-Pierre (dome ?), Château Saint-Ange et Galerie Borghese
Application City Audioguide pour smartphone : 130 points forts de Rome, avec visuels, carte interactive, visite à pieds, descriptions et commentaires audio
10% de réduction sur d’autres attractions
Options pour des visites guidées (en anglais)
IMPORTANT : Vérifier la documentation officielle du vendeur, les conditions indiquées ici pouvant changer
Un des sites étrusques les plus suggestifs d’Italie, le plus impressionnant selon nous, se trouve à Cerveteri, dans la province de Rome. Ici les vastes nécropoles remontent à longtemps, avec la culture villanovienne du IXe siècle, avant celle des étrusques jusqu’au jusqu’au IIIe siècle avant J.-C. Le principal site est la nécropole de Banditaccia. Elle compte des milliers de sépultures qui sont distribuées sur un plan quasi urbain, avec quartiers, rues et places. Elle s’étend sur 400 hectares ! la zone réservée à la visite est de « seulement » 10 hectares et totalise près de 400 tumulus. Certaines tombes sont monumentales, creusées dans la roche, puis surmontées d’impressionnants tumulus circulaires. D’autres sont en forme de maison, certaines comportent des bas-reliefs ou renferment des peintures murales.
La réouverture progressive des musées et des expositions se fera à Rome à partir du 19 mai 2020. A partir du 3 juin 2020, l’Italie devrait ouvrir de nouveau ses frontières au tourisme (sous conditions), sans quarantaine, en provenance de L’UE, de la zone Schengen, ou de la Suisse et de Monaco.
FERMETURE TEMPORAIRE DES MUSÉES et des SITES CULTURELS
Du 8 mars 2020 au 19 mai 2020
En raison de l’épidémie de Coronavirus (Covid-19) en Italie, pour contenir la propagation, la ville de Rome applique les dispositions du décret du président du Conseil des ministres du 8 mars 2020 :
Suspension de l’ouverture des musées, instituts et lieux de culture, nationaux, communaux et privés, des expositions en cours.
Suspension des événements et des spectacles de toute nature (dont cinéma et théâtre, publics et privés)
Suspension des compétitions sportives de toute nature, publique et privée.
Pour plus d’informations et de mises à jour, consultez les sites officiels :
La Renaissance (le Rinascimento en italien) est une période de grand changement culturel en Europe qui s’amorça en Italie à la fin du XIVe siècle, et dans le même pays se développa jusqu’au début du XVIe siècle. Elle constitue la transition entre l’Europe du Moyen-Âge et l’Europe moderne. C’est dans la littérature que ce mouvement a pris sa source, avec notamment le patronage intellectuel et un intérêt pour la redécouverte de la culture classique et de l’Antiquité. Elle concerna avant-tout les classes sociales supérieures. C’est en Toscane que la Renaissance émergea, autour de Florence et de Sienne, impactant rapidement Rome où elle fut entretenue par la Papauté.
C’est seulement à la fin du XVe siècle que le mouvement s’était étendu à l’ensemble de la société et de la culture italienne. Ce fut l’époque de son apogée, bien que le pays fut en proie au chaos, sous les incursions étrangères et les luttes internes, entre factions et entre cités, notamment entre partisans du Pape et ceux du Saint-Empire Romain Germanique. Au delà de l’Italie, les idées de la Renaissance se répandirent dans le reste de l’Europe, avec le développement des Renaissances espagnole, française, anglaise ou nordiques. Ces mouvements eurent chacun leurs propres temporalités et rythmes, avec dans chaque région leurs propres caractéristiques et styles, avec l’impulsion et l’influence des séjours de grand maîtres et de grands artistes.
Le Moïse de Michel-Ange (Saint-Pierre aux Liens, env 1515)
La Vie de Saint-Bernardin du Pinturicchio (Santa Maria in Aracoeli, env 1489)
Ainsi en Italie et à Rome en particulier, la Renaissance s’est incarnée dans des œuvres d’envergure, dans l’art en particulier, avec de grands noms comme Michel-Ange (dans la Chapelle Sixtine notamment), Raphaël (avec les chambres des appartements de Jules II), et Léonard de Vinci. Elle pris forme par exemple dans la Basilique Saint-Pierre à Rome. Ce mouvement eu aussi l’apport de nombreux artistes étrangers venus à Rome pour apprendre, mais qui laissèrent leur propre empreinte et alimentaire l’évolution de la Renaissance. Citons alors tour d’abord Fra Angelico, Ghirlandaio, Benozzo Gozzoli, Melozzo da Forlì, Piero della Francesca, Mantegna. Puis émergèrent Botticelli, Signorelli et Perugino (qui tous les trois œuvrèrent dans la chapelle Sixtine), et ensuite Antoniazzo Romano, Filippino Lippi, Pinturicchio. Vinrent aussi à Rome Lorenzo Lotto, le Sodoma et Sebastiano Del Piombo.
La Renaissance (le Rinascimento en italien) est une période de grand changement culturel en Europe qui s'amorça en Italie à la fin du XIVe siècle, et dans le ...
Raffaello Sanzio (Urbino, 6 avril 1483 - Rome, 6 avril 1520), dit plus simplement Raphaël en français, était un peintre et architecte italien, l'un des plus célèbres de ...
Michel-Ange (Caprese, 6 mars 1475 - Rome, 18 février 1564) , Michelangelo en italien, de son vrai nom Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni), était un sculpteur, peintre, architecte, ...
Cette section est dédiée aux basiliques et aux églises de Rome, aux plus importantes et intéressantes, étant donné que la ville en compte plus de 400. Nous découvrirons ...
Cœur du Vatican, la basilique Saint-Pierre est la plus grande du monde chrétien. Elle fut bâtie sur le tombeau de Saint Pierre vers l'an 320. Michel-Ange, Raphael, le ...
Située au sommet de la colline du Capitole, cette importante place de Rome fut redessinée par Michelange. Sous l'antiquité, c'était un important lieu politique et religieux, avec notamment ...
La Chapelle Sixtine, la Cappella Sistina en italien, est une réalisation hors du commun, chapelle principale du Palais apostolique du Vatican, dédiée à l'Assomption de Marie.
D'une part c'est ...
Après les beaux palais qui hébergent les prestigieux musées de Rome comme les Musées du Capitole (Palais Nuovo, Palais des Conservateurs, Palais Sénatorial), la Galerie Borghese (dans la ...
Les quatre musées décris dans la page Grands musées de Rome peuvent remplir de nombreuses journées, particulièrement si elles sont froides ou pluvieuses.
Mais les collections artistiques et archéologiques ...
Outre la célèbre Chapelle Sixtine et les Chambres de Raphaël, les Palais des Papes du Vatican hébergent les collections des douze Musées du Vatican, formant une des plus ...
Le baroque est un mouvement artistique qui s’étend du milieu du XVIe siècle, jusqu’au milieu du XVIIIe qui marqua l’art européen. Son origine est en Italie, où s’y trouvent de nombreuses belles expressions, notamment à Rome. Ce style touche tous les domaines, comme l’architecture, la peinture ou la musique. Cette période fut désignée ainsi, comme « baroque », à posteriori, vers la fin du XVIIIe. Il se caractérise par l’expression du mouvement, la surcharge décorative, les effets dramatiques, l’exubérance ou le contraste. Il est parfois pompeux. Son objet était de toucher le spectateur en éveillant chez lui des sensations, en opposition notamment à l’austérité et à la sobriété du classicisme. L’église a contribué à la création et à la diffusion d’œuvres baroques, voulant se distinguer après la Réforme protestante de l’église protestante en cherchant l’émotion chez les fidèles. Dans l’architecture, se voit ainsi souvent complexité et trompe l’œil, créant une exubérance assumée. En peinture la baroque exprime souvent un réalisme puissant, parfois exagéré jusqu’au théâtral.
Parmi les grands artistes qui marquèrent particulièrement le baroque, citons Le Caravage avec son clair-obscur et ses personnages animés, Le Bernin avec ses marbres « vivants », ou Borromini et de Cortone chez les italiens, mais aussi Rubens originaire des Flandres, Vélasquez né à Séville, etc.
Le baroque est un mouvement artistique qui s’étend du milieu du XVIe siècle, jusqu’au milieu du XVIIIe qui marqua l'art européen. Son origine est en Italie, où s’y ...
Francesco Borromini, de son nom de naissance Francesco Castelli (25 septembre 1599 - 2 août 1667), était un architecte italien né dans le Tessin qui, avec ses contemporains ...
Michelangelo Merisi, dit Le Caravage (Caravaggio en italien), (28 septembre 1571 à Milan - 18 juillet 1610 à Porto Ercole) était un Peintre italien actif à Rome, Naples, ...
Gian Lorenzo Bernini, dit Le Bernin (Naples, 7 décembre 1598 – Rome, 28 novembre 1680), fut un important sculpteur, architecte et peintre. Son art, typiquement baroque, est caractérisé ...
Carlo Maderno (Capolago, 1556 - Rome, 30 janvier 1629) était un architecte suisse-italien, né près de Lugano en Suisse, de style baroque.
A Rome, il a assisté pendant plusieurs ...
Cette section est dédiée aux basiliques et aux églises de Rome, aux plus importantes et intéressantes, étant donné que la ville en compte plus de 400. Nous découvrirons ...
Cœur du Vatican, la basilique Saint-Pierre est la plus grande du monde chrétien. Elle fut bâtie sur le tombeau de Saint Pierre vers l'an 320. Michel-Ange, Raphael, le ...
Entourée de la majestueuse colonnade faite de quatre files, la plus grande basilique du monde chrétien: la basilique Saint-Pierre, domine la place qui est aussi le cœur de ...
C'est une des places de Rome les plus animées, avec de nombreux peintres, restaurants et des cafés et des glaciers. Emblématique de la période baroque, au centre s'élève ...
Avec ses grands escaliers, la Place d'Espagne est un chef d'oeuvre d'harmonie et d'esthétique. Ses marches mènent à l'église de la Trinité des Monts, remarquable par ses deux ...
La Fontaine de Trevi est la fontaine la plus scénique de Rome, présente dans l'imaginaire collectif avec le film de La Dolce Vita de Fellini. Son histoire s’enchevêtre ...
Après les beaux palais qui hébergent les prestigieux musées de Rome comme les Musées du Capitole (Palais Nuovo, Palais des Conservateurs, Palais Sénatorial), la Galerie Borghese (dans la ...
Francesco Borromini, de son nom de naissance Francesco Castelli (25 septembre 1599 – 2 août 1667), était un architecte italien né dans le Tessin qui, avec ses contemporains Gian Lorenzo Bernini (Le Bernin) et Pietro da Cortona (Pierre de Cortone), a été une figure de l’architecture baroque romaine.
Inspiré par l’architecture de Michel-Ange et l’antiquité romaine, Borromini a développé une architecture inventive et singulière, en manipulant des formes classiques, des géométriques et symboliques. Il semble que sa compréhension des structures architecturales était plus développée que chez ses contemporains Le Bernin ou Cortona, d’abord formés dans d’autres domaines artistiques. Sa carrière a pu être limitée par sa personnalité. Contrairement à Le Bernin qui jouait aisément le rôle de courtisan charmeur pour obtenir des commandes, Borromini était d’une personnalité mélancolique et introverti, ce qui le conduit à se retirer de certains projets. Il mourut par suicide. Après quelques collaborations avec Le Bernin (à Saint-Pierre et au Palais Barberine), ils devinrent rivaux, ce qui eu un grand impact sur la carrière et la vie de Borromini. Certains historiens considèrent que le Bernin, conscient du talent de son ancien associé, essaya de faire obstacle à sa carrière.
Son influence fut limitée, sauf exception comme dans les œuvres piémontaises de Camillo-Guarino Guarini, et avec Le Bernin et Cortona, dans l’architecture du baroque tardif de l’Europe du Nord. Cependant, à partir de la fin du XIXe siècle, l’intérêt pour les œuvres de Borromini a été relancé et son architecture est devenue appréciée pour son inventivité.
Réalisations de Borromini à Rome
Œuvres principales de Borromini
San Carlo alle Quattro Fontane En 1634, Borromini a reçu sa première grande commande indépendante pour concevoir l’église, le cloître et les bâtiments monastiques de San Carlo alle Quattro Fontane (également appelé San Carlino). L’église fut construite de 1638 à 1641, et dédiée en 1648 à San Carlo Borromeo. Bien que petite, elle est considérée comme un chef-d’œuvre du baroque romain.
Oratoire des Philippins Après avoir reconstruit à la fin du XVIe siècle l’église de Santa Maria in Vallicella (devenue Chiesa Nuova), les oratoriens engagèrent Borromini à partir de 1637 pour construire palais et oratoire attenant à l’église.
Sant’Ivo alla Sapienza De 1640 à 1650, il a travaillé à la conception de l’église de Sant’Ivo alla Sapienza et de sa cour, près du palais de La Sapienza de l’université de Rome. Il avait été initialement recommandé en 1632, par son superviseur de l’époque travaillant au Palazzo Barberini, Gian Lorenzo Bernini. Le lieu étroit à été un défi pour l’architecte.
Autres œuvres et participations de Borromini
Sant’Agnese à Agone Borromini fut l’un des architectes impliqués dans la construction de l’église de Sant’Agnese à Agone à Rome. Non seulement certaines de ses intentions de conception ont été modifiées par des architectes successifs, mais le résultat net est un bâtiment qui reflète, malheureusement, un mélange d’approches différentes.
Raffaello Sanzio (Urbino, 6 avril 1483 – Rome, 6 avril 1520), dit plus simplement Raphaël en français, était un peintre et architecte italien, l’un des plus célèbres de la Renaissance italienne. Il est considéré comme l’un des plus grands artistes de tous les temps; son travail a inévitablement inspiré les peintres qui ont suivi et est à l’origine de l’école du maniérisme. Son style se caractérise par une harmonie du dessin et de la couleur, sans que l’un ne domine l’autre. On confronte souvent la grazia (grâce) et la dolce maniera (manière douce) de Raphaël à la terribilità (style puissant) de Michel-Ange. Il s’inspira de son maître, le Perugin, dans la douceur de ses traits, mais aussi de Michel-Ange pour le modelé des corps et de Léonard de Vinci avec le sfumato (technique qui estompe les contours). Né et ayant grandit à Urbino. De 1499 à 1504 il vécu à Città di Castello, ainsi qu’à Pérouse et ses environs, et à Sienne. De 1504 à 1508, il fut à Florence, puis à Rome jusqu’à sa mort en 1520.
Retable Oddi, 1502-1503, 267×163 cm. Annonciation / Adoration des Mages / Présentation au temple
Retable Baglioni, 1507, polyptyque, en plusieurs parties Speranza / Carità / Fede, 16×44 cm
La Vierge de Foligno, 1511-1512, 320×194 cm
Transfiguration
Tapisseries de Raphaël, 1515-1516, destinées à la Chapelle Sixtine, les sept cartons conservés sur les dix sont à Londres La Vie de Pierre : La Pêche miraculeuse / Jésus-Christ donnant les clés du Paradis à Pierre / La Guérison du boiteux / La Mort d’Ananias La Vie de Paul : La Lapidation de saint Étienne (pas de carton) / La Conversion de Saint Paul (pas de carton) / La Conversion du proconsul / Le Sacrifice de Lystre / Saint Paul en prison (pas de carton) / Saint Paul prêchant à Athènes
Transfiguration, 1518-1520, 405×278 cm
Couronnement de Monteluce, 1524-1525 (posthume), 354×230 cm
Michelangelo Merisi, dit Le Caravage (Caravaggio en italien), (28 septembre 1571 à Milan – 18 juillet 1610 à Porto Ercole) était un Peintre italien actif à Rome, Naples, à Malte et en Sicile. Ses peintures innovent à l’époque, combinant une observation réaliste de l’homme, aussi bien physique qu’émotionnelle, avec une utilisation dramatique de l’éclairage (le clair-obscur). Il eu une forte influence sur le mouvement baroque issu du maniérisme, à l’origine du Caravagisme, inspirant de nombreux artistes comme Pierre Paul Rubens, Jusepe de Ribera, Gian Lorenzo Bernini et Rembrandt.
Le Caravage a fait de l’éclairage un élément stylistique dominant, assombrissant les ombres et transposant les sujets dans des puits lumineux. Il exprime de façon vivante des moments et des scènes cruciaux, souvent caractérisés par des luttes, des épreuves ou la mort. Il avait l’habitude de travailler rapidement, directement sur la toile, et avec des modèles vivants.
Il a suivi sa formation de peintre à Milan avant de déménager dans la vingtaine à Rome. Il eu rapidement un grand succès, obtenant des commandes prestigieuses. Il fut aussi connu pour être un homme sensible et parfois violent. En 1606, à la suite d’une bagarre ou d’un duel qui entraîne la mort de son adversaire, il est condamné pour meurtre. Il fuit Rome pour vivre en exil à Naples, puis à Malte et en Sicile. Il essaie de racheter ses fautes auprès du Pape, notamment par ses œuvres. De retour à Naples en 1609, il fut de nouveau impliqué dans un affrontement violent, ayant été défiguré d’après les témoignages. Il mourut en 1610 dans des circonstances incertaines (officiellement de fièvre) en se rendant de Naples à Rome. Certains on évoqué un assassinat ou un empoisonnement au plomb.
Les innovations du Caravage ont inspiré la peinture baroque, mais son œuvre fut assez rapidement oubliée. C’est au XXe siècle que l’intérêt pour son travail a été relancé et son importance dans le développement de l’art occidental et la peinture moderne a été réévaluée.
Ci-dessous, un parcours de Rome pour découvrir les œuvres du Caravage qui se trouvent dans la capitale italienne, au détour des ruelles du centre historique de la ville.
Le Caravage dans des églises de Rome
Saint Matthieu et l’ange
Le triptyque de Saint Matthieu à Saint Louis des Français (San Luigi dei Francesi) : la vocation de saint Matthieu, le martyre de saint Matthieu et Saint Matthieu et l’ange.
L’une des plus importantes charges de la carrière du Caravage fut la décoration de la Chapelle Contarelli en 1599, dans l’église baroque de Saint Louis des Français, près de la Place Navone. Le Caravage y a développé une série de trois peintures consacrées à la figure de saint Matthieu. Ces œuvres eurent dès leur installation un grand prestige. Saint Matthieu et l’ange (1602) a été refait par l’artiste, après le rejet d’une première version par ses clients. Elle montrait le saint comme un homme chauve aux jambes sales qui semblait souffrir pour écrire, aidé par un ange qui lui tenait la main. Ce tableau été détruit pendant la Seconde Guerre mondiale, mais il en reste des reproductions photographiques.
La crucifixion de Saint Pierre
Les deux Caravage à Sainte Marie du Peuple Dans la basilique Sainte Marie du Peuple, on peut admirer deux chefs-d’œuvre de l’artiste qui datent de 1601: la conversion de saint Paul sur la route de Damas (dans la Chapelle Cerasi) et la Crucifixion de Saint-Pierre. Les versions originales de ces peintures furent rejetées. Dans la première version de la Conversion de saint Paul, le saint semblait une figure secondaire devant la dominance du cheval dans la composition. Cette œuvre se trouve au sein d’une collection privée de la famille Odescalchi Balbi, de temps en temps exposée. La première version de la Crucifixion de Pierre a disparu
Madone des Pèlerins
Madone des pèlerins dans l’église Sant’Agostino La Madonna di Loreto (Madone des pèlerins) est exposée dans l’église Saint-Augustin, peinture exécutée en 1604 pour le compte de Ermete Cavalletti, afin d’orner la chapelle familiale.
Le Caravage dans des musées et des palais de Rome
Trois œuvres à la Galerie Doria Pamphilj La Galerie Doria Pamphilj abrite trois œuvres de l’artiste.
Madeleine repentante
La Madeleine repentante (1594, La Maddalena Penitente), Repos pendant la fuite en Egypte (1594, Riposo durante la Fuga in Egitto) et Saint Jean-Baptiste (1602, San Giovanni Battista). La Madeleine faisait partie d’un ensemble destiné à décorer les salons du premier client du Caravage, le cardinal Francesco del Monte. Le modèle était une prostituée qui apparaît aussi dans la Mort de la Vierge (maintenant au Louvre). Des années plus tard, elle a été retrouvée morte dans le Tibre.
La Galerie Borghese conserve un important ensemble des œuvres du Caravage : Le garçon à la corbeille de fruits (1593-1594), le Jeune Bacchus Malade (1593, autoportrait possible), Madone des Palefreniers (1606), Saint Jérôme, Saint Jean-Baptiste (1609-1610) et David et Goliath (1606-1607, Davide con la testa di Golia). Dans ce dernier le Caravage s’est représenté face au géant décapité.
La Mise au Tombeau (1602-1604, Deposizione di Cristo) est la seule œuvre du Caravage aux Musées du Vatican, mais celle-ci est d’une grande beauté. Elle a reçu un consentement unanime (ce qui était rare pour le Caravage), et beaucoup d’admiration des critiques contemporaines.
Trois tableaux au Palais Barberine (Palazzo Barberini) Narcise (1597-1599), Judith et Holopherne (1602, Giuditta e Oloferne), Saint-François en méditation (1605). Le Judith et Holopherne fut célèbre à l’époque, en ayant surpris et choqué les visiteurs à son emplacement d’origine, en raison de son réalisme et sa crudité. Des peintres reprirent l’œuvre par la suite, comme Artemisia Gentileschi (Judith Tueur d’Holopherne, 1620) et Francisco de Goya (Judith et Holopherne, 1820). Le Narcisse, est daté d’environ 1597-1599. Il existe un débat autour de l’auteur de ce tableau. Saint-François en méditation date de 1605.
Saint Jean-Baptiste au bélier
Deux tableaux des Musées du Capitole Dans les Musées du Capitole, on peut admirer l’une des huit représentations de saint Jean-Baptiste que l’artiste a créé au cours de sa vie, le Jeune Saint Jean-Baptiste au bélier (San Giovanni Battista ou Giovane con un montone), de 1602, identique à celui de la Galerie Doria Pamphili. Le tableau de la Diseuse de Bonne Aventure (Buona ventura), d’environ 1594, est célèbre et souvent copié par d’autres artistes. Il en existe une version postérieure exposée au Musée du Louvre.
Saint Jean-Baptiste au Palais Corsini Cette version de Saint Jean-Baptiste (la cinquième réalisée par le peintre) date d’environ 1604. L’iconographie est inhabituelle.
Jupiter, Neptune et Pluton
Peinture murale dans la Villa Ludovisi Jupiter, Neptune et Pluton (Giove, Nettuno e Plutone), d’environ 1597, de 300 par 180 cm, peinture murale ornant un plafond du Casino de la Villa Boncompagni Ludovisi
Gian Lorenzo Bernini, dit Le Bernin (Naples, 7 décembre 1598 – Rome, 28 novembre 1680), fut un important sculpteur, architecte et peintre. Son art, typiquement baroque, est caractérisé par la recherche du mouvement, le spectaculaire et les effets d’illusion. Par la qualité et la quantité de sa production, il est considéré comme le maître de l’art baroque à Rome.
Fils d’un sculpteur d’origine florentine, Pietro Bernini, qui travailla pour le compte du pape Paul V, Gian Lorenzo Bernini fut repéré très jeune. Il fut employé presque sans interruption par les pontifes, dont Grégoire XV qui le nomma chevalier, et Urbain VIII. Ainsi, il fut l’architecte de la colonnade et des statues de la place Saint-Pierre, du baldaquin de la basilique. Il réalisa notamment plusieurs fontaines monumentales, dont celle des Quatre Fleuves, d’un baroque très vif. Ses œuvres eurent une grande influence sur l’urbanisme romain.
Restauration de la basilique Sainte-Marie-du-Peuple (1655 – 1661), avec en particulier la décoration de la nef et du transept et réalisation de la chapelle Chigi.
Daniele da Volterra : Michelangelo Buonarroti, vers 1544. The Metropolitan Museum of Art, New York
Michel-Ange (Caprese, 6 mars 1475 – Rome, 18 février 1564) , Michelangelo en italien, de son vrai nom Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni), était un sculpteur, peintre, architecte, poète et urbaniste originaire de Florence, à l’époque de la Haute Renaissance.
Beaucoup de ses œuvres sont considérées comme des chefs-d’œuvre majeurs de la Renaissance. Il jouissait déjà de son vivant d’une grande reconnaissance. Citons le David (1504), qui se trouvait devant le Palazzo Vecchio de Florence ; la Pietà (1499), dans une chapelle de la basilique Saint-Pierre de Rome ; le Moïse (1515) du tombeau de Jules II dans la basilique Saint-Pierre-aux-Liens de Rome ; plusieurs œuvres dans la Chapelle Sixtine au Vatican : le plafond peint entre 1508 et 1512 ; le Jugement dernier réalisé entre 1536 et 1541 sur le mur de l’autel. Comme architecte, il a notamment créé le dôme de la basilique Saint-Pierre, ou la Place du Capitole à Rome.
Liste d’œuvres et de réalisations de Michel-Ange que l’on peut découvrir à Rome
Pietà, 1499–1500, Basilique Saint-Pierre, Rome, Marbre (hauteur : 174 cm, largeur à la base : 195 cm) La Pietà est exposée dans une chapelle à droite de l’entrée de la basilique Saint-Pierre. Elle représente la Vierge Marie tenant sur ses genoux le corps du Christ descendu de la Croix. C’est une des plus célèbres œuvres d’art au monde, ayant assuré la célébrité de Michel-Ange.C’est à l’origine une commande du cardinal français Jean Bilhères de Lagraulas, abbé de la basilique Saint-Denis, ambassadeur de France auprès du pape. Elle devait orner le monument funéraire en mémoire du roi défunt Charles VIII (mort en avril 1498) dans la chapelle Santa Petronilla (la chapelle des rois de France) de l’ancienne basilique Saint-Pierre. Michel-Ange a choisi un bloc de marbre de Carrare, de couleur crème. Il aurait travaillé vingt heures par jour pour respecter l’échéance du contrat, avec ciseau, marteau et pierre ponce.En mai 1972, un déséquilibré a mutilé la sculpture à coups de marteau, brisant le nez de la Vierge et une partie du bras. Elle a depuis été restaurée. Ces travaux de restauration ont révélé sur la main gauche de la Vierge le monogramme de Michel-Ange, un « M » dessiné sur la paume.
Moïse, vers 1513–1515, Tombeau de Jules II, Marbre (hauteur : 235 cm). La statue de Moïse est intégrée dans le Tombeau de Jules II qui devait à l’origine orner la basilique Saint-Pierre de Rome. Elle représente Moïse, descendu du Sinaï avec les Tables de la Loi, qui regarde courroucé, les Juifs adorant le veau d’or. Il devait se trouver au dernier étage du tombeau. Le Moïse porte des cornes, ce qui a fait de l’objet de débats, entre l’interprétation lié au rayonnement spirituel et celle d’une mauvaise interprétation des textes bibliques.
Carlo Maderno (Capolago, 1556 – Rome, 30 janvier 1629) était un architecte suisse-italien, né près de Lugano en Suisse, de style baroque.
A Rome, il a assisté pendant plusieurs années son oncle Domenico Fontana, qui était considéré comme un des plus grands architectes de son temps.
Les premiers travaux qui furent confiés à Maderno étaient principalement d’ordre technique avec le transfert des statues des Dioscures sur la Piazza del Quirinale, l’érection des obélisques à Santa Maria Maggiore, au Latran, sur la Place du Peuple, au Vatican (1587-1589). Il participa aussi à des projets d’ingénierie hydraulique. Il eu aussi la charge de la restauration de la Cappella Foscari dans la basilique Santa Maria del Popolo. Après le départ à Naples de Fontana, tombé en disgrâce à la mort de Sixte V, Maderno prit la direction de l’entreprise familiale.
Sa première réalisation architecturale fut la façade de Sainte-Suzane, souvent considérée comme le premier exemple aboutit du baroque.
Peu après il fut engagé par le noble Mattei pour la construction de son palais et il rentra au service du Pape Clément VIII, puis de Paul V. Il fut l’architecte de la façade de la basilique Saint-Pierre et de la nef longitudinale. Il participa à d’autres projets architecturaux au cours de sa vie, dont le Palais des Papes de Castel Gandolfo. Sur plusieurs de ses chantiers, il employa son jeune neveu Francesco Borromini, devenu par la suite un architecte au style baroque unique.
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